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Titre: Bioécologie de Tuta absoluta (Meyrick,1917) et lutte contre ce ravageur sur Solanacées
Auteur(s): CHOUDAR-BOUSSAD, Fariza
Mots-clés: Bioécologie, Tuta absoluta, Nesidiocoris tenuis, pièges à phéromone, Solanacées,Lutte biologique, tomate de type cerise
Date de publication: 25-jan-2018
Editeur: ENSA
Résumé: L’étude de la bio-écologie de Tuta absoluta y compris celle de son cycle biologique est faite dans les conditions du terrain, soit sur la culture de tomate sous-serre. Il est noté sur la tomate de type ronde une durée du cycle de 14,5 jours de l’oeuf jusqu’à la chrysalide sur les plants sis en bordures. Par contre, elle est seulement de 12 jours sur les pieds de tomate présents au centre de la serre. Cependant sur la tomate de type cerise; la durée du cycle sur les plants de bordure est de 25 jours de l’incubation de l’oeuf jusqu’à la formation de la chrysalide et de 21 jours sur les feuilles des plants sis au centre de la serre. Parmi les facteurs influençant la durée du développement des stades larvaires de Tuta absoluta, il y a d’une part la température et d’autre part le type et la variété de la plante hôte. Les femelles de Tuta absoluta préfèrent pour leurs oviposition la tomate de type ronde par rapport au type cerise. La faune sympatrique de la mineuse de la tomate Tuta absoluta dans la serre est diversifiée entre insectes ravageurs et arthropodes utiles. Les dégâts de Tuta absoluta sur la tomate est de 43,7 %, sur l’aubergine 34,0 % et sur le poivron 22,3 %. Les pièges adhésifs jaunes associés à la phéromone et les pièges lumineux en présence de la phéromone se montrent les efficaces dans leur attraction à l’égard des papillons de Tuta absoluta parmi les quatre types de pièges utilisés. La lutte biologique par l’emploi de la punaise prédatrice Nesidiocoris tenui montre une très légère amélioration de l’état du feuillage des nouvelles pousses de la partie apicale des plants de la tomate durant la fin du mois de février et en mars. Pourtant, le niveau élevé de l’infestation de la culture avant les lâchers du prédateur. L’espèce Nesidiocoris tenuis peut dévorer jusqu’à 45 oeufs de la mineuse en conditions de température et d’humidité de l’air du laboratoire.
URI/URL: http://hdl.handle.net/123456789/1990
Collection(s) :Département Zoologie Agricole

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