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Titre: | Activités de phytostimulation par les PGPR |
Autre(s) titre(s): | cas de Pseudomonas et Bacillus en interaction avec la tomate et le haricot |
Auteur(s): | DJERDJOURI, Amina |
Mots-clés: | PGPR, Phytostimulation, Pseudomonas fluorescens, Bacillus subtilis, Solanum lycopersicum, Phaseolus vulgaris. |
Date de publication: | 31-mai-2012 |
Résumé: | L’objectif de ce travail est de mettre en évidence les effets bénéfiques de deux souches rhizobactériennes Pseudomonas fluorescens C7R12 et Bacillus subtilis BS utilisées individuellement ou en combinaison, en interaction avec deux génotypes végétaux : Solanum lycopersicum var. Saint Pierre et Phaseolus vulgaris var. djadida. Cette étude vise aussi à étudier l’influence de la microflore indigène sur le comportement des rhizobactéries, ainsi que la vérification de la compétence rhizosphérique des souches étudiées. La bactérisation de ces plants, depuis le stade semence, a induit des effets notables en terme de stimulation de leur croissance. Le suivi de la levée des plantules, même s’il n’a pas montré des gains, néanmoins la cinétique s’est montrée plus hâtive, c'est-à-dire moins de trois jours pour atteindre la levée totale des plants. Nous avons noté des gains perceptibles sur l’ensemble des paramètres étudiés particulièrement les biomasses fraîches et sèches des plantes (variant de 4 à 130%), ainsi que la quantité de chlorophylle synthétisée (variant de 6 à 40%) et la quantité de phosphore acquise dans les feuilles de tomate et de haricot (dépassant parfois les 30%). L’utilisation de la combinaison des deux souches C7R12 et BS a révélé un effet de phytostimulation plus important que l’utilisation individuelle de ces mêmes souches chez les plants de tomate et de haricot. Nous avons utilisé deux types de sol, ce qui nous a permis de comparer l’effet de la désinfection sur le comportement des souches vis-à-vis les plantes, nous avons déduit que les gains sont relativement plus importants en sol non désinfecté, en présence de la microflore indigène. Nous avons constaté des seuils de colonisation racinaire élevés quelque soit le biotope végétal de la souche et quelque soit le type de sol utilisé. En effet, les concentrations rhizobactériennes ont dépassé 109 CFU/g de sol. Ces résultats appuient globalement l’ensemble de nos hypothèses et indiquent que la bactérisation du sol par des PGPR stimule et améliore la croissance des plantes. L’application d’une combinaison de rhizobactéries améliore considérablement leurs effets phytostimulaturs en interaction avec les différents génotypes végétaux. |
URI/URL: | http://hdl.handle.net/123456789/2127 |
Collection(s) : | Département Productions Végétales |
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DJERDJOURI_Amina | 2,62 MB | Adobe PDF | Voir/Ouvrir |
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