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dc.contributor.authorALLALA - MESSAOUDI, Linda-
dc.date.accessioned2021-05-23T10:01:38Z-
dc.date.available2021-05-23T10:01:38Z-
dc.date.issued2019-12-15-
dc.identifier.urihttp://localhost:8080/xmlui/handle/123456789/2326-
dc.description.abstractA ce jour, des données limitées sont disponibles concernant la pression virale présente dans les champs de pomme de terre en Algérie. Durant trois campagnes agricoles consécutives de 2013 à 2016, différentes prospections ont été conduites et les inspections visuelles ont montré une grande variabilité des symptômes sur les plants de pomme de terre dans les principales régions productrices du pays. Un total de 285 échantillons de feuilles de pommes de terre a été étudié pour définir la prévalence des cinq virus les plus communs des virus : le virus Y de la pomme de terre (PVY), l’enroulement foliaire due au (PLRV) virus, virus de la pomme de terre X (PVX), le virus A de la (PVA) et virus de la pomme de terre (PVS). Les résultats ont montré une incidence plus élevée de PVY comparé aux autres virus. Deux facteurs intervenant dans l’augmentation de cette incidence ont été étudiés au niveau de la région d’Ain Defla, traditionnellement la plus productrice en semences de pomme de terre ; il s’agit des pucerons vecteurs et des plantes adventices avoisinantes de la culture de pomme de terre. Six espèces sont avérées efficientes dans la transmission in vitro du virus Y avec des pourcentages variables, Myzus persicae présente le taux le plus élevé avec une préférence pour une souche particulière de ce virus PVYNTN qui s’avère la plus dominante dans les champs de pomme de terre et qui est responsable de la nécrose annulaire des tubercules. Les adventices semblent aussi jouer un rôle important dans la conservation du virus, différentes espèces ont été identifiées et analysés par DAS-ELISA, ont révélé la présence du PVY et plus majoritairement la souche PVYN et en forte concentration chez Solanum nigrum et Chenopodium sp. La forte incidence du PVY dans toutes les régions étudiées et sa variabilité symptomatologique, ont conduit à l’étude de la diversité des populations de PVY circulant dans nos pomme de terre et ce vu l’émergence de nouvelles souches dans le monde notamment en Tunisie, pays voisin. D'un panel de 185 échantillons, sérologiquement confirmés comme étant uniquement infectées par le PVY, 96,7 % appartiennent au sérotype-N, et seulement 3,2 % de sérotype-O. Une série de 31 isolats PVY a été analysé par le biotypage sur le tabac et par typage moléculaire (RT-PCR, séquençage), ciblant le polymorphisme de la séquence des nucléotides dans le 5'NTR/P1 région et la recombinaison au sein de la jonction de trois HCPro/ P3 (RJ2), VPg/NIa (RJ3) et le CP (RJ4). 28/31 isolats PVY de sérotype-N induisant une nécrose des nervures sur tabac ont été identifiés comme PVYNTN recombinant. Les trois autres souches étaient du sérotype PVY-O, dont deux ont été identifiées comme PVYN-wi induisant la nécrose des nervures sur le tabac. Ce résultat est d'un grand intérêt car à notre connaissance, c'est le premier rapport du PVYN-Wi isolé dans le Nord de l’Afrique.fr
dc.language.isofrfr
dc.subjectPVYNTN, PVYN-Wi, Solanaceae, la diversité, les isolats recombinant.fr
dc.titleEtude du virusy de la pomme de terre en Algériefr
dc.title.alternativeincidence, caracterisation biologique, serologique et moleculairefr
dc.typeThesisfr
Collection(s) :Département Botanique

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