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Besoins en eau et maîtrise de l’irrigation d’appoint du blé dur dans la vallée du Chéliff

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dc.contributor.author MEROUCHE, Abdelkader
dc.date.accessioned 2016-09-21T13:15:09Z
dc.date.available 2016-09-21T13:15:09Z
dc.date.issued 2015-03-11
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/1284
dc.description.abstract La réponse du blé dur à l’utilisation des eaux de pluie et l’irrigation d’appoint a été étudiée durant 8 années sous les conditions semi-arides de la région du Chélif, achevée par étude de discrimination isotopique durant la neuvième année. Deux régimes d’eau, pluvial et irrigué en relation avec les précipitations et les stades de la culture ont été appliqués sur six variétés : Bousselam (B, Chen’s (C), Mohammed Ben Bachir (MBB), Mexicali (M), Vitron (V), et Waha (W). La periode (2001-2009) a été caractérisée par une grande variabilité de la répartition des quantités de précipitations : de 287 mm (2001-02) à 512 mm (2008-09). Le rendement en grain en pluvial varie de 9 q.ha-1 (2004) à 28 q.ha-1 (2009) où l’irrigation a permet d’atteindre une production maximale de 45 q.ha-1. Parmi les facteurs majeurs limitant l’efficience de l’irrigation sont les fortes températures dues aux vents chauds durant la phase floraison et formation du grain qui causent des pertes du nombre de grain par épi. La productivité des eaux de pluie (PEP) varie de 0.9 pour Mexicali et Vitron à 1 à 1.1 kg.m-3 pour Waha, Bousselam, et Chen’s . Elle est seulement 0.5 kg.m-3 pour la variété locale Mohammed Ben Bachir. En absence de sécheresse précoce, PEP peut atteindre 1.4 kg.m-3 pour les variétés les plus productives. L’irrigation d’appoint est une méthode efficace pour atteindre des gains de rendement en grain de 7 à 25 q.ha-1 suivant le déficit climatique et la stratégie d’irrigation. La sensibilité des variétés à la sécheresse dépend des moments de l’apparition de cette dernière. Cependant les interactions observées entre les variétés et les stratégies d’irrigation pour le rendement en grain et ses composantes ne sont pas significatives. Les composantes du rendement les plus explicatives du rendement final en pluvial sont le nombre d’épi .m-2 et le nombre de grain par épi. En irrigué, le nombre de grain par épi et le poids de mille grain sont les plus importants pour la détermination du rendement final. Des corrélations et des modèles de relations significatifs ont été obtenus entre les isotopes stables, principalement le carbone grain et les autres indices morpho-physiologiques ainsi que le rendement et ses composantes. Cela confirme bien que les isotopes sont des indicateurs du stress hydrique et sont donc conseillés comme critère pour l’étude de la tolérance des variétés à la sècheresse. fr
dc.language.iso fr fr
dc.subject Blé dur, irrigation d’appoint, sécheresse, variétés, semi-aride, composantes du rendement, isotopes, indices de végétation. fr
dc.title Besoins en eau et maîtrise de l’irrigation d’appoint du blé dur dans la vallée du Chéliff fr
dc.type Thesis fr


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