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Aspects bio-écologiques dans différents milieux de deux familles d'acariens du sol Galumnidae et Scheloribatidae

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dc.contributor.author FEKKOUN, Soumeya
dc.date.accessioned 2020-10-27T10:53:50Z
dc.date.available 2020-10-27T10:53:50Z
dc.date.issued 2012-07-04
dc.identifier.uri http://hdl.handle.net/123456789/2267
dc.description.abstract La bioécologie des acariens du sol en milieux forestiers nécessite le choix de 3 stations, différentes par l’altitude, le climat et la flore. L’une se situe dans le parc national de Chréa à 1300 m d’altitude, l’autreà Bouchaoui (sublittoral algérois). La troisième est sise près de Saoula. Un total de 72 prélèvements de sol sont faits en 2010/2011 dans chaque station. L’ensemble des acariens recueillis appartient à 3 ordres. Celui des Oribatida domine devant ceux des Gamasida et des Opilioacarida.Au printemps l’effectif le plus élevé est noté à Chréa (260 individus) et à Bouchaoui (258 ind.). C’est le cas à Saoula, mais en hiver(806 indiv.). En été, il est bas à Chréa (119 indiv.) et à Bouchaoui (80 indiv.). A Saoula le plus bas niveau apparaît au printemps (135 indiv.). A Chréa, au second rang l’effectif s’élève en hiver à 245 individus et à 168 en automne. Les Scheloribatidae sont les plus abondants(AR% = 42,4 %), suivis par les Lohmanniidae, les Gamasidae,les Euphthiracaridae et lesHermanniellidae (7,9 % ≤ AR. % ≤ 8,3 %). Près de Bouchaoui en terme d’individus les Scheloribatidae dominent (AR. % = 30,6 %), suivis par les Euphthiracaridae, les Ceratozetidae et les Lohmanniidae (8 %≤ AR. % ≤ 19,6 %). A Saoula, en effectifs,les Lohmanniidae dominent (18,7 %.), devantles Scheloribatidae, les Gamasidae, les Hermaniellidae et les Ceratozetidae (9,0 %≤AR. %≤ 14,8 %). Parmi 43 espèces recueillies au cours de la période 2011-2012, seule Scheloribates sp. est réguliereprès de Chréa (F.O. % = 54,2 %), près de Bouchaoui (F.O. % = 50%) et près de Saoula (F.O. % = 52,8 %). Opiidae sp. indét.est seule espèce accessoire commune aux trois stations.La richesse totale (S) minimale est notée en hiver près de Bouchaoui (9 espèces), le maximum étant de 24 espèces au printemps et en hiver près de Saoula.De faibles valeurs de densités moyennes (Dm) sont notées en été à Chréa (954,0 acariens/m2) et à Bouchaoui (641,3 acariens/m2)(climat assez sec;faible humidité du sol). Les plus fortes sont vues au printemps (2.100,4 acariens/m2 près de Chréa;2.068,3 acariens/m2 près de Bouchaoui). A Saoula Dmla plus élevée est notée en hiver avec 6.461,4 acariens/m2.Les acariens sont davantage diversifiés en hiver et en automne dans la station de Chréa.A Bouchaoui, l’indice de diversité (H’) varie entre 2,30 bits en été et 3,38 bits au printemps. Dans la station de Saoula, H’est fort au printemps avec 3,62 bits.L’équitabilité est élevée en automne (E = 0,80). L’analyse de la variance révèle une différence significative entre les densités des trois stations. L’analyse en composantes principales fait ressortir une forte corrélation entre les effectifs de Bouchaoui et de Chréa et non pas avec Saoula. fr
dc.language.iso fr fr
dc.subject Forêt , Chréa, Bouchaoui, Saoula, Acariens , oribates, Appareille de Berlèse fr
dc.title Aspects bio-écologiques dans différents milieux de deux familles d'acariens du sol Galumnidae et Scheloribatidae fr
dc.type Thesis fr


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