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dc.contributor.author |
GHEZALI, Djelloul |
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dc.date.accessioned |
2016-06-21T09:50:08Z |
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dc.date.available |
2016-06-21T09:50:08Z |
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dc.date.issued |
2012-07-18 |
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dc.identifier.uri |
http://hdl.handle.net/123456789/651 |
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dc.description.abstract |
La présente étude menée dans les différentes régions du nord de l’Algérie montre que les Oribates présentent une
distribution échelonnée dans l’espace et dans le temps en corrélation avec l’amélioration des conditions
écologiques La région de Bejaia et Jijel constituent les milieux les plus adéquats pour le développement des
Oribates.Viennent en deuxième position les régions d’Alger,Médéa, Blida et Tissemsilt et en dernier on trouve
les régions de Batna ,Mascara et Tlemcen Cette dispersion des Oribates correspond parfaitement à la disposition
des régions dans leur étage correspond. En effet la première correspond au bioclimat humide, la seconde
correspond à l’étage sub-humide et la troisième à l’étage semi-aride . La zone semi-aride ayant une
caractérisation climatique et édaphique moins propices, constituent des milieux moins favorables .En effet
seulement 15 espèces ont été recueillies. Dans les zones humide et sub-humide qui se caractérisent par une
grande diversité végétale et des conditions climatiques optimales, offrent des milieux très propices pour le
développement des acariens et particulièrement les Oribates. La richesse maximale de 28 espèces est enregistrée
dans le bioclimat humide et 19 espèces dans le bioclimat sub-humide .Cette classification descendante
hiérarchique des peuplements d’acariens confirme les conditions environnementales qui règnent dans ces
milieux. Cependant, le comportement des espèces d’Oribates se manifeste différemment. Certaines espèces
montrent une tolérance à l’égard de ces variations et leur aire de distribution est très large. Par contre, la majorité
des espèces dont l’aire de distribution est limitée se montrent plus exigeantes vis-à-vis de ces conditions. Les
Oribates, en plus de leur caractère de bioindicateur, peuvent servir dans leur globalité à la caractérisation des
milieux. En effet, leur densité comme leur richesse sont autant d’indices qui permettent de signaler leur état et
par conséquent déceler toutes modification qui peut altérer l’intégrité des sols .Ils peuvent toutefois être utilisé
dans toutes les écosystèmes où l’action d’anthropisation ne cesse d’entreprendre |
fr |
dc.language.iso |
fr |
fr |
dc.subject |
Désertification ; bioindicateur ; facteur écologique ; milieu forestier |
fr |
dc.title |
Systématique et bioécologie des acariens du sol (Acari-Oribatida) en Algérie |
fr |
dc.type |
Thesis |
fr |
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