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dc.contributor.author |
OUNANE, Sidi Mohamed |
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dc.date.accessioned |
2016-06-05T11:20:18Z |
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dc.date.available |
2016-06-05T11:20:18Z |
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dc.date.issued |
2004-12-12 |
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dc.identifier.uri |
http://hdl.handle.net/123456789/73 |
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dc.description.abstract |
La distribution des activités enzymatiques varie en fonction de l’âge et de la position des feuilles
sur la plante. Les étages foliaires présentent une analogie avec le développement d'une feuille. Le
sommet représente les organes en développement, le milieu les feuilles en pleine maturité et la
base de la plante les feuilles sénescentes. Chaque étage foliaire peut donc être associé à une phase
de l'ontogénie foliaire.
L’effet du nitrate sur la nutrition azotée se traduit par une stimulation de la fixation N2 aux
faibles concentrations et une inhibition aux fortes concentrations. Ce mode d’action s’observe dans
la plupart des paramètres étudiés notamment la nodulation, l’ARA et l’ASS.
Les contraintes hydriques modérées affectent moins l’ARA pendant la floraison et la formation
des gousses. La présence de gros nodules permet une meilleure résistance à la déshydratation et le
maintien d’une bonne activité nitrogénase. L’assimilation des nitrates est moins déprimée que la
fixation N2 par le stress hydrique, tout au moins pour les contraintes faibles ou modérées. Mais la
plante réajuste sa nutrition par une augmentation de l’ANR au moment où la fixation diminue sous
l’effet du stress hydrique. Une fois la contrainte levée les activités nitrogénase et nitrate réductase
reprennent une activité normale quand le stress est faible ou modéré et sont irréversiblement
inhibées par les stress sévères.
La supériorité de la souche native C2260 pour la production de matière sèche des feuilles, des
tiges et des gousses pendant une contrainte hydrique a été mise en relation avec la formation du
rendement et la productivité du pois chiche.
Le cultivar FLIP87-7C se distingue par sa capacité à conserver le maximum de matière sèche
nodulaire sous contrainte hydrique. Il semblerait que la réduction du nombre de nodules soit
compensée par l’apparition de nodules plus gros, capables de mieux surmonter le stress hydrique.
Chez le pois chiche, l’accumulation des uréides dans les feuilles, suite à un stress hydrique,
se traduit par leur retour dans les nodules (feedback) et leur accumulation serait responsable de
l’inhibition de l’activité nitrogénase.
Les températures comprises entre 2°C et 10°C limitent fortement le fonctionnement de la
nitrogénase qui ne représente plus que 10 à 20 % de sa capacité optimale. Les fortes températures
affectent de même la fixation de façon brutale et à partir de 35°C, il est probable d'atteindre une
inhibition complète de cette enzyme. Par contre, les basses températures ont un effet favorable sur
la nitrate réductase en protégeant cette enzyme contre sa dégradation naturelle. C'est un avantage
qui conforte le décalage du semis de printemps vers l'hiver, souvent recommandé pour améliorer
les rendements du pois chiche. |
fr |
dc.language.iso |
fr |
fr |
dc.publisher |
INA |
fr |
dc.subject |
Pois chiche ; Cicer arietinum ; Stress hydrique ; Azote ; Nutrition des plantes |
fr |
dc.title |
Effet du stress hydrique et thermique sur la nutrition azotée chez le pois chiche( Cicer arietinum ) |
fr |
dc.type |
Thesis |
fr |
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