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dc.contributor.author |
KOÏCHE, Malika |
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dc.date.accessioned |
2016-07-11T10:50:10Z |
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dc.date.available |
2016-07-11T10:50:10Z |
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dc.date.issued |
2011-03-10 |
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dc.identifier.uri |
http://hdl.handle.net/123456789/934 |
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dc.description.abstract |
L’étude porte sur l’isolement et l’identification de Streptococcus thermophilus et Lactobacillus bulgaricus locales, à haut pouvoir de dégradation de lactose d’une part, et d’autres part sur le test de la résistance, de la croissance et de l’activité de ces bactéries. Les souches et les cultures mixtes ayant dégradé des quantités importantes de lactose (supérieur à 80 %) et qui ont gardé une bonne viabilité (supérieure à 107 cellules / mL) sont mises dans des conditions extrêmes du tube digestif. Les résultats ont montré des variations considérables entre genres, espèces et souches de la même espèce dans la dégradation du lactose en cultures pures et en cultures mixtes ; ainsi qu’à croître à différents pH en absence et en présence de sels biliaires. Les résultats de l’expérimentation sur les lapins confirment ceux trouvés in vitro, car l’ingestion des yaourts YSLB1, YSLB2 et YSLB3 conduit à une présence des bactéries au niveau des différentes parties du tube digestif, pendant une durée et avec un nombre appréciable de bactéries. Ce nombre reste important tant que les lapins consomment les yaourts. Après arrêt de la consommation, les bactéries restent vivantes dans l’estomac, dans le duodénum et dans le gros intestin à des taux supérieurs à 107 cellules / mL pendant 4 jours mais disparaissent après 6 jours. L’ingestion des yaourts YSLB1, YSLB2 et YSLB3 a nettement amélioré l’activité lactasique chez les lapins. Le lot des lapins recevant 3x5 mL de lait à 12 % d’EST et 3x5 mL du YSLB1 par jour, pendant deux semaines, présente une activité lactasique six fois plus importante que celle du lot témoin.
L’étude de la prévalence de l’intolérance au lactose chez des enfants de moins de 3 ans a révélé la présence de 28.22% de cas d’intolérants au lactose et celle des adultes (280 étudiants volontaires), soumis un régime alimentaire incluant 2x150 mL de lait / j, a montré que 43,92 % ingèrent le lactose sans aucun symptôme après 7 jours de consommation ; alors qu’ils étaient 35% au début de l’expérimentation. Les 8.92 % des cas ayant présenté des symptômes d’intolérance au lactose ont repris leurs activité enzymatique après avoir réintégrer le lait dans leurs régime alimentaire. Ces derniers représentent donc une intolérance secondaire, alors que 56.07 % présentent toujours plusieurs symptômes d’intolérance qui peut être primaire ou congénitale. Par ailleurs, Les intolérants au lactose (56.07 %) ont été soumis à un régime alimentaire enrichi en lait et en yaourt local YSLB1 (RS + LAIT + YSLB1) et au bout de 7 jours de consommation, 71.33 % ont retrouvé leurs activité lactasique, renforcée par la lactase des bactéries de YSLB1, alors que 28.66 % n’ont pas pu retrouver une bonne activité et qui sont probablement des intolérants congénitaux ou primaires sévères. |
fr |
dc.language.iso |
fr |
fr |
dc.subject |
Survie ; Tube digestif ; Lapin ; Yaourt ; Activité lactasique ; Bactéries laciques extrêmophiles ; Intolérance au lactose ; Lactose |
fr |
dc.title |
Effet des bactéries lactiques locales du yaourt sur l’intolérance au lactose |
fr |
dc.type |
Thesis |
fr |
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