Browsing by Author "KHELLAF, Nora"
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Item Contribution à la lutte intégrée contre la mineuse de la tomate Tuta absoluta (Meyrick, 1917) (Lepidoptera : Gelechiidae) sous serre(2011-03-06) KHELLAF, NoraTuta absoluta (Meyrick, 1917) est le ravageur le plus redoutable sur la culture de la tomate, il a été signalé en Algérie au printemps 2008. Ce travail a porté sur une étude du comportement bioecologique de ce ravageur sous serre et sa sensibilité à l’égard de certains insecticides dans le but de mettre en œuvre une stratégie de lutte intégrée contre cet insecte. L’étude biométrique des stades larvaires à montré la présence de quatre stades. L’étude des fluctuations des populations sur une période de six mois à mis en évidence la présence de quatre générations chevauchantes et une durée moyenne du cycle biologique de 31,75 jours à une température moyenne de 25,8°C et une humidité relative moyenne de 65,36%. La population embryonnaire à montré une répartition préférentielle au niveau des strates apicale et des faces inférieures des feuilles. Les populations larvaires de T. absoluta se sont avérées sensibles au Spinetoram avec un taux de mortalité variant entre 68,32% et 70,4 %, et aux associations Chlorantraniliprole + Abamectine et Thiamethoxam + Lambda Cyhalothrine avec des taux de mortalité de 66,44% et 85,58%. Les populations larvaires sont également sensibles au Spinetoram et à l’Emamectine Benzoate qui a révélé un taux de mortalité variant de 81,80 % à 83,98%.Item Diversité et structure entomologique en châtaigneraie du Parc National de Chréa (Blida-Algérie)(ENSA, 2015-03-17) KHELLAF, NoraDiversité et structure entomologique en châtaigneraie du Parc National de Chréa (Blida-Algérie). L’étude conduite dans la châtaigneraie de Parc National de Chréa a permis de récolter 1022 individus appartenant à 95 espèces. Cette biodiversité entomologique se répartit entre 12 ordres et 54 familles taxonomiques. En nombre et en espèce l’ordre des Coléoptères compte les effectifs les plus conséquents et significatifs, représentés par 25 familles, soit 56% de la diversité entomologique globale. Diverses espèces de bioagresseurs du châtaignier ont été mis en évidence, les tordeuses ; Cydia fagiglandana et C. splendana, et la mineusePhyllonorycter messaniella sont des exemples. Les valeurs des fréquences centésimales ont révélé que, Catops rescissicollis est l’espèce dominante au niveau de la châtaigneraie avec une fréquence de 20% de la diversité totale des espèces. Au deuxième rang on note la présence de la fourmi Camponotus alii (14%) suivie par le staphylin Ocypus olens (12%). L’indice de diversité de Shannon-Weaver est de 4.57 bits, ce qui confirme un équilibre du milieu entre les peuplements entomologiques du site prospecté. Des espèces sont signalées pour la première fois en Afrique du Nord, le cas de la punaise rare Alloeorhynchus putoni, de la mineuse Phyllonorycter messaniella et de son ectoparasite larvaire Minotetrastichus platanellus.Les analyses multivariées des différents groupes entomologiques confirment que la diversité de la station d’étude présente un équilibre entomologique homogène.