Browsing by Author "MORSLI, Samira"
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Item Ecologie et biologie du Bombyx disparate, Lymantria dispar L. (Lep. : Lymantriidae) dans le Parc National de Chrèa(INA, 2008) MORSLI, SamiraLes gradations du Bombyx disparate, Lymantria dispar, en Algérie se sont succédées tous les 10 ans environ. L’année 2006 a coïncidé avec l’entrée en phase de progradation. Quatre stations reconnues comme étant des foyers primaires potentiels d’infestation du ravageur ont été sélectionnées dans le Parc National de Chréa et a Bou-Arfa .Pour la première fois des relevés portant sur la densité des pontes, l’impact des antagonistes oophages, larvaires et nymphales ont été effectués durant cette étude. L’étude des pontes du bombyx disparate a montré une abondance relative de 189 pontes en moyenne par arbre sur Castina sativa et 49 pontes en moyenne sur Quercus ilex. Le dénombrement des oeufs a mis en évidence, une moyenne de 77 oeufs par ponte en subéraie et 286 oeufs par ponte en châtaigneraie .Le parasitisme embryonnaire par Ooencyrtus kuvanae est très faible ne dépassant pas 3 %. Le taux de parasitisme et de prédation larvaire et nymphal reste élevé et se rapprochent de ceux d’autres régions. Une bonne concordance phénologique entre le débourrement de l’arbre hôte et l’éclosion des oeufs de Lymantria dispar est en effet nécessaire au déclanchement d’une nouvelle infestation. Elle dépend des conditions micro- climatiques de chaque station. L’état du feuillage a été noté à partir d’observations sur les arbres marqués.Item Proposition d’un modèle de culture biologique Tomate/Datura et effet des biopesticides (métabolites secondaires) sur les bioagresseurs(ENSA, 2018-05-29) MORSLI, SamiraLes cultures maraîchères en plein champ ou sous-abri sont la cible d‟un cortège de bioagresseurs du sol mais aussi d‟insectes phytophages, Pour faire face aux problèmes posés par ces déprédateurs, il est nécessaire de mettre en oeuvre des méthodes de lutte efficaces, capables de réduire la population des ravageurs à un seuil économique tolérable. La présente étude a pour objectif de proposer des solutions alternatives basées sur l‟utilisation des extraits et poudre de Datura stramonium comme biopesticide contre les bioagresseurs. L‟efficacité de l‟extrait de D. stramonium est testée sur les larves L4 de Tuta absoluta, attestée par un taux de mortalité remarquable dépassant les 90 % en 72h. L‟effet de D. stramonium en poudre comme amendement du sol a donné de très bons résultats en améliorant la croissance des plants traités, tout en étant un bon nématicide contre Meloidogyne incognita en réduisant ainsi l‟indice de galle sur les sols amendés avec un faible taux (0,6) par rapport au témoin. L‟association de D. stramonium comme culture intercalaire avec la tomate Solanum lycopersicum est testées également. Cette technique de co-culture a permis d'améliorer la production en fruits, et de diminuer le taux des attaques dues aux insectes et aux maladies induites par des agents pathogènes injectés par des arthropodes jusqu‟à 87,0 %. Le nombre de fruits par plant est de l‟ordre de 12. Cette technique permet l‟amélioration de la qualité du sol et aussi de diminue l‟utilisation des produits chimiques (pesticides), et de déterminer les meilleures méthodes de protection des cultures et de lutte contre les mauvaises herbes et les-déprédateurs.