Département Foresterie
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Item AMELIORATION ET STIMULATION DE LA CROISSANCE VEGETATIVE PAR LE PROCEDE FERT-IRRIGATION EN ARIDO-CULTURE(INA, 2008-02-21) BOUHADJA-LAFER, HouriaItem Analyse spatio-temporelle par télédétection de la région de Djelfa(2012-03-13) GUERINIAI, AliL’objectif de notre travail était la détection des changements de l’occupation du sol à partir de données satellitaires multidates de Landsat au niveau du sous bassin versant d’Oued El-Hadjia-Djelfa qui appartient au bassin des Zahrez au niveau de la wilaya de Djelfa. Une méthode de comparaison diachronique de post-classification a été adoptée, par l’utilisation des pseudo-bandes (ACP, NDVI). La précision globale des classifications obtenues est de 93%. Tout d'abord, deux images satellites, acquises en 1987 et en 2009 par le satellite Landsat TM ont été classés en sept grandes classes de couverture terrestre à savoir: forêts et reboisements, parcours, dunes, voiles sableux, sols nus, agriculture et bâtis et infrastructures Les résultats ont permis d’identifier l’évolution temporelle et spatiale de l’occupation de notre zone d’étude pour une période de 22 ans, ainsi la tendance de la dynamique de différentes unités composantes notre zone d'étude, cette étude a permis premièrement l'extraction de deux types d'information, il s'agit d'un bilan de la nouvelle occupation du sol et un bilan sur la dynamique de changement au sein de chaque classe grâce à la création d'une matrice de changement et deuxièmement l'extraction les motifs des changement qui sont liés principalement aux facteurs naturels et anthropiques.Item Caractérisation cytogénétique et comportement vis-à-vis d’un stress hydrique de quelques populations de trois espèces de Medicago (M. ciliaris, M. intertexta, M.truncatula)(2009-02-11) OUAFI, LeilaCe travail est un essai de déterminer l’effet d’un stress hydrique correspondant à un taux de tarissement de 80% de la réserve utile du sol, sur trois espèces de luzernes annuelles : Medicago intertexta, Medicago ciliaris et Medicago truncatula. Ainsi que l’étude cytogénétique par deux méthodes : le comptage chromosomique et le banding (qui vise à mettre en évidence des structures appelées « bandes » sur les chromosomes mitotiques). A l’issue de ce travail, nous avons constaté que les paramètres étudiés réagissent différemment les un parrappot aux autres, face à une contrainte hydrique. Le ralentissement de la croissance persiste pendant la phase après stress pour le paramètre « croissance de la tige principale » chez la majorité des populations. Alors que, la croissance du premier rameau ne manifeste aucune réduction par rapport aux témoins durant cette phase. Sur le plan phénologique, un stress hydrique momentané durant la phase végétative n’a aucun effet sur la date d’apparition de la première fleur et de la première gousse. Une augmentation évidente dans la température de surface est constatée chez les plants par rapport aux témoins, l’écart le plus important est notée au 5ème jour de stress pour la majorité des populations étudiées. En ce qui concerne l’étude cytogénétique, nous avons remarqué que les pointes racinaires prélevées entre 9h00 et 10h00 sont celles qui ont donné les plaques métaphasiques les plus claires, L’ α bromonaphtalène s’avère être un pré fixateur plus efficace en comparaison avec le froid ainsi qu’avec la combinaison des deux (α bromonaphtalène et froid). La coloration à l’orceine combinée à une durée d’hydrolyse de 7 minutes offre des plaques largement plus visibles avec un très bon contraste par rapport au réactif de schiff combiné à trois durées d’hydrolyse (7, 10 et 15 minutes).Item Caractérisation de deux taillis de chêne liège (Quercus suberL.) de la forêt domaniale de Béni-Ghobri(2011-12-08) GUETTAS, AliL’objectif de ce travail consiste à caractériser deux taillis de chêne liège (Quercus suber L.) âgés de cinq et quarante deux ans, issus respectivement de l’ouverture de tranchée pare feu et de l’opération d’assainissement de subéraie après incendie. Les deux taillis se situent dans la forêt de Béni-Ghobri confinée dans le bioclimat humide à variante tempérée. La méthode appliquée pour la caractérisation de ces taillis est basée sur le choix de six sous parcelles où des placettes circulaires ont été installées selon la stratégie d’échantillonnage stratifié progressif, suivi d’un inventaire pied par pied de toutes les cépées. Les variables dendrométriques quantifiées et mesurées sont le nombre de brins par cépée, la hauteur et le diamètre ainsi que la circonférence des brins. Les différentes analyses utilisées montrent que le chêne liège présente une très forte capacité à se régénérer de souche même après des recépages répétitifs. La structure globale est régulière dans les deux taillis. Par contre les structures élémentaires, à l’échelle des sous parcelles, sont hétérogènes ; elles apparaissent biaiser par le facteur anthropique. Les cépées modèles, plus productives, sont celles composées de deux et trois brins. A cette échelle d’observation, l’étude met en évidence la plus forte productivité du taillis d’Ahmil, l’effet des sous parcelles et de la densité de brin par cépée sur la croissance de la hauteur et du diamètre. Ainsi, la forte densité de la cépée favorise la croissance en hauteur et inversement celle du diamètre, tandis que l’effet « sous parcelle » découle de la diversité des facteurs édaphique et topographique des parcelles. Au niveau des deux parcelles, l’ensemble des variables dendrométriques sont étroitement liées entre elles. L’ajustement de la relation « hauteur-diamètre » montre que la croissance en hauteur en fonction du diamètre est plus rapide à Ahmil (modèle de puissance) alors qu’il est de type polynomial à Tala N’Rbéa. Ainsi, la première opération de démasclage est atteinte dès l’âge de 40 ans à Ahmil ; le taillis répond aux normes requises, soit 70cm de circonférence.Item CARACTERISATION MORPHOLOGIQUE DE QUATRE VARIETES ALGERIENNES DE FIGUIER "Ficus carica L.(2012-01-25) BOUZID, LeilaLe figuier (Ficus carica L.) est une espèce très répandue dans le bassin méditerranéen. Notre étude a porté sur l’évaluation de quatre variétés locales de figuier, Ficus carica L., de la collection de figuier de l’Institut Technique d’Arboriculture Fruitière et la Vigne (Tassala El Merdja, wilaya d’Alger) à savoir Tameriout, Taranimt, Azendjar et Abgait en se basant sur des caractères morphologiques de nature quantitative et qualitative sur le fruit, la feuille et le rameau. Les résultats de cette étude ont montré que les fruits sont pyriformes avec un poids moyen qui varie de 42,74 à 60,10 g, d’une longueur variant de 43,46 à 64,70 mm et d’une largeur allant de 40,06 à 47,19 mm. Le pédoncule est court et épais chez l’ensemble des variétés. Le col est important chez la variété Abgait. Les rameaux présentent une écorce lisse, des bourgeons terminaux coniques chez l’ensemble des variétés. Les feuilles présentent un polymorphisme important. Les résultats de l’analyse en composantes principales ont montré que le plan (1-2) apporte 77,97 % de l’information totale et exprime la majorité des caractères. Ces résultats indiquent l’existence d’une variabilité importante entre les différentes variétés étudiées.Item Caracterisation morphologique de quelques populations locales de ble tendre (triticum aestivum l) de la region d’adrar(2012-01-16) BERKANI, SalihaL’intérêt des cultivars locaux de blé pour l’agriculture algérienne ne peut être négligé, vu que ces cultivars par leurs adaptations centenaires aux conditions arides du milieu (alimentation en eau aléatoire, hautes températures, salinité des eaux et du sol) et par le maintien de leur diversité grâce au savoir-faire des agriculteurs, sont susceptibles de constituer de véritables « modèles » pour les conditions de culture algérienne où l’eau reste le premier facteur limitant.
Dans ce contexte il devient urgent de préserver cette diversité génétique qui existe au niveau des blés, nous avons pour cela réalisé plusieurs prospections dans deux régions principales de la wilaya d’Adrar : le Touat et le Gourara, au cours desquelles nous avons collecté 52 accessions de blé réparties sur 24 populations. Nous avons également effectué des enquêtes ethnobotaniques sur le savoir faire ancestral des agriculteurs dans la conduite et le maintien de ces populations de blés. Ces accessions ont été mises en essai en présence de deux variétés de référence de blé tendre : Anza et HD 1220, à la station expérimentale INRAA de Mahdi Boualem. L’analyse des caractères quantitatifs a été réalisée sur le plant et celle des caractères qualitatifs sur l’épi et le grain. Cette caractérisation morphologique a permis de mettre en évidence l’existence d’une grande variabilité de formes et de couleurs. La majorité des caractères étudiés sont des indicateurs de tolérance au stress hydrique. Par ailleurs, Les caractères quantitatifs mesurés sur le plant, ont montré une forte corrélation entre eux. Les résultats obtenus montrent que les 52 accessions appartenant aux 24 populations de blé sont discriminées aussi bien par les caractères du plant que par les caractères de l’épi et du grain. Par conséquent, les fiches descriptives ont été élaborées pour chaque population. La variabilité inter – populations observée à travers la caractérisation morphologique, attire l’attention sur le fait d’approfondir ces études par l’utilisation de marqueurs biochimiques et moléculaires afin de confirmer les résultats obtenus. La connaissance de la phénologie et des paramètres de production et d’adaptation sont également des mécanismes primordiaux qui constituent le point de départ de tout programme pour la création d’une nouvelle variabilité. Elles restent un facteur puissant pour améliorer le rendement, préserver les ressources génétiques du blé contre l’érosion.Item Caractérisation phénétique de souches de Rhizobium associées au groupe des Intertextae (Genre Medicago)(INA, 2007-04-29) BENDIFALLAH, NassimL’étude de 90 souches de Rhizobium medicae issues de plantsde 4 espèces de luzerne du groupe des Intertextae a montré l’existence d’une grande diversité à différents niveaux d’analyse : sol et plante hôte d’origine mais également la provenance de cette dernière (indigène ou introduite). L’analyse des caractéristiques phénotypiques de ces souches indique que celles piégées par Medicago granadensis et M. muricoleptis se différencient de celles issues de M. ciliaris et M. intertexta par : Leurs relatifs faibles niveaux de tolérance aux différents stress L’expression de voies de métabolisation différentes chez les deux groupes de souches, malgré leurs larges spectres d’utilisation des substrats carbonés et azotés, par une nature plus acidifiante des rejets cellulaires. Une relative facilitée dans l’utilisation des substrats azotés simples et de certains acides aminés. Les souches, présentent dans l’ensemble, des caractères de résistance aux stress physiochimiques et présentent un potentiel à solubiliser les phosphates organiques très intéressants. Les résultats obtenus sont en accord avec les données biomoléculaires établies sur le même souchier.Item Cartographie numérique des habitats potentiels du Cerf de Berberie (Cervus elaphus barbarus, BENETT 1833) dans la forêt d'Akfadou (wilayas de Béjaia et Tizi Ouzou)(ENSA, 2010-06-21) SOLTANI, ThiziriSituée dans la région naturelle de Grande Kabylie, la forêt de l’Akfadou fait l’objet depuis quelques temps de recherches qui s’intéressent à sa biodiversité. Les résultats relatifs à la cartographie numérique des habitats potentiels du Cerf de Berbérie (Cervus elaphus barbarus, Benett 1833) de la forêt d’Akfadou, ont permis d’identifier 11 types d’habitats se différenciant principalement par leur physionomie. 51 % de l’ensemble de la forêt d’Akfadou regroupe un ensemble d’habitats dense et peu dense que le cerf de Berbérie peut utiliser comme habitat de protection contre les rayons du soleils les journées d’été chaudes, les vents froids et violents et les pluies fortes pendant l’hivers. Plus de 43 % de l’ensemble de la forêt renferme les forêts claires et des maquis qui peuvent être utilisés à la fois comme abri et comme source de nourriture. Les surfaces ouvertes et les clairières, qui sont particulièrement utilisées pour le gagnage, présentes dans la forêt d’Akfadou, représentent plus de 5% de l’ensemble des habitats de la forêt, avec des strates herbacées riches en nourritures, mais limités en couvert d’abri. Au printemps le paysage végétal se modifie nettement en quantité et en qualité, principalement pour les herbacées. Par contre, pendant l’été, l’automne et l’hiver le cerf dispose, de ressources trophiques potentielles de la strate arbustive, dont la biomasse est à peu prés constante toute l’année. L’approche cartographique utilisée pour notre étude, a montré que les SIG peuvent être très utiles dans la gestion des ressources naturelles. En effet, leur utilisation nous a permis de localiser et de connaitre les disponibilités en habitats naturels. La forêt d’Akfadou est un milieu tout indiqué pour le cerf Berbérie, elle est située dans une région à faible dérangement, et sa structure végétale diversifiée offre à la fois le couvert, la nourriture et la quiétude pour cette espèce de cervidés menacée d’extinction en Algérie.Item La conservation de la biodiversité dans les parcs nationaux du Nord de l’Algérie(2011-05-24) MERIBAI, YoucefLe présent travail a porté sur l’évaluation de l’état des lieux de la biodiversité à l’échelle nationale ainsi que l’état de conservation In Situ de cette biodiversité dans les subdivisions biogéographiques qui abritent les parcs nationaux du Nord de l’Algérie. Les parcs nationaux ont retenu notre attention, ce qui nous a amené à réaliser un travail d’investigation approfondi sur leurs situations, à partir d’une questionnaire, élaboré et largement diffusé, pour y être renseigné par 50 cadres universitaires et ingénieurs des parcs nationaux L’évaluation de l’état des lieux à l’échelle nationale, nous a permis de montrer que la biodiversité Algérienne est en régression continue, sous l’effet de multiples pressions, dominées par les activités humaines et l’absence d’une stratégie de conservation. Les dégradations concernent les trois niveaux de la biodiversité (génétique, spécifique et écosystémique). Les mesures prises pour remédier à la situation n’ont pas été d’un impact favorable sur la conservation des ressources biologiques. Les parcs nationaux du Nord de l’Algérie sont considérés comme les seules véritables structures à assurer une conservation In Situ de la biodiversité à l’échelle nationale. Malgré les grandes contraintes qui s’opposent à leur maintien en activité, ils continuent de développer des efforts pour préserver au maximum les habitats naturels et la biodiversité qui leur sont inféodés. Cette biodiversité dépasse largement la moitié du patrimoine national pour les mammifères, les oiseaux et les végétaux supérieurs. Les résultats obtenus à partir de l’exploitation minutieuse du questionnaire, nous ont permis d’élaborer une stratégie de redressement théorique de la situation des parcs. La stratégie élaborée s’intitule « Amélioration des capacités en matière de conservation de la diversité biologique des parcs nationaux situés dans le Nord du pays ». La méthode utilisée se base sur les contraintes signalées qui sont analysées et traduites en actions à réaliser. La validation de cette stratégie et la dotation en moyens nécessaires pour sa mise œuvre, relèvent de la tutelle des parcs nationaux.Item Contribution à l'étude des feux de forêts en Algérie(INA, 2008-04) MEDDOUR-SAHAR, OuahibaUn diagnostic à l’échelle wilayal fait ressortir que la wilaya de Tizi Ouzou est très impactée par les feux de forêts, avec un cumul record de 2 685 feux, ayant détruit une superficie forestière totale de 63 617 ha durant la période 1986-2005. L’analyse statistique exploratoire des feux passés montre une temporalité marquée des feux, puisqu’ils surviennent en majorité en août et surtout dans le créneau horaire de 10-18 h. L’évolution annuelle révèle la versatilité des feux de forêts et surtout deux années catastrophiques, 1993 et 1994. Sur le plan spatial, il ressort que le phénomène des feux de forêts est bien circonscrit, quant à la gravité et à la récurrence des feux, dans une dizaine de communes mitoyennes de la zone littorale et sublittorale montagneuse de la portion orientale la plus boisée de la région étudiée. Cette analyse fait ressortir de même que certaines grandes forêts domaniales et le reboisement industriel sont les plus gravement atteints par les feux (zones rouges prioritaires). Enfin, la formation forestière la plus touchée par le feu est assurément la « subéraie pure », prédominante dans la région étudiée, mais également les maquis et les plantations. L’examen attentif des grands feux (# 100 ha), 3,5 % de la fréquence totale, mais, près de 54 % de la surface incendiée en 20 ans, permet de voir que ce sont les mêmes communes et les mêmes forêts qui enregistrent la majorité des grands feux. Ensuite, une évaluation du risque fréquentiel (IRF) et du risque surfacique (RMA) a été effectuée et restituée sous forme cartographique, à l’échelle des unités de gestion territoriale et de gestion forestière, afin de tirer des enseignements pratiques des feux passés. Une estimation d’un risque global, intégrant le peuplement végétal, a été réalisée après l’identification sur le terrain des « types de combustibles » au niveau des 7 principales forêts domaniales de la wilaya étudiée, suivant la méthode espagnole. Les résultats obtenus s’avèrent instructifs et corroborent la pertinence des indices de risque IRF et RMA. L’étude des causes d’incendies a été abordée via une synthèse comparative, au niveau de 5 wilayas de l’Algérie littorale centrale. Les résultats acquis s’avèrent très insuffisants (99 % de causes inconnues à Tizi Ouzou). Par une approche probabiliste, nous avons tenté de cerner les origines des feux en croisant les données pyrologiques avec des indicateurs d’ordre socio-économique (facteur démographique, cheptel, etc.). Les résultats établis à l’aide d’une analyse multivariée révèlent que les activités sylvopastorales (pâturage en forêt, apiculture) et le facteur pénétration des massifs forestiers, par un réseau routier public très dense, sont les principales variables explicatives quant aux causes d’incendies de forêts les plus fréquentes. De plus, le haut potentiel forestier de la région est aussi un facteur décisif, compte tenu de la forte proportionnalité entre les variables feu et surface forestière ou taux de boisement. Un autre volet a été abordé, il s’agit de l’efficience de l’infrastructure de base de PFCI. Par le biais d’une analyse multivariée, il apparaît que celle-ci est non seulement inefficace, mais même aggravante pour les incendies, que les pare-feux et surtout les pistes forestières soient entretenus ou non. Enfin, une enquête socio-économique a été menée auprès des populations rurales (960 riverains interviewés) de 189 villages, répartis au niveau de 15 communes forestières, littorales et sublittorales. Ces populations demeurent tributaires des ressources naturelles des forêts avoisinantes et sont conscientes de la gravité des feux de forêts. Ce panel a surtout permis de constater de grandes divergences entre les données de l’administration forestière et la réalité du terrain perçue par les populations riveraines des forêts sur plusieurs aspects (alerte, intervention et plus spécialement causes des feux).Item Contribution à l'analyse des cadres réglementaires sur la biosécurité(INA, 2007-10-01) GHAZI, MeriemLa présente étude a pour objectif principal l’analyse de deux aspects particuliers d’un dispositif de biosécurité: les aspects réglementaires et les aspects techniques de la détection des plantes génétiquement modifiées (PGM), en vue d’étudier les possibilités de transposition et de mise en œuvre des outils de contrôle et d’évaluation des plantes cultivées génétiquement modifiées à l'échelle nationale. Les tests de détection effectués dans le cadre de ce mémoire voulaient rendre compte des possibilités actuelles de contrôle et aboutir à un aperçu même partiel en matière d’introduction des OGM en Algérie. Ces tests se sont avérés concluants et ont confirmé que certains tourteaux de soja disponibles sur le marché algérien contenaient la protéine du gène conférant la résistance au glyphosate. Sur les échantillons destinés à l’alimentation humaine et à être cultivés aucun n’a été détecté positivement quant à ce caractèreItem Contribution à l’étude économique et écologique de la production d’huiles essentielles à partir de trois espèces forestières(ENSA, 2003-11-13) SEBTI, MohamedL’estimation de la production des huiles essentielles extraites des espèces Myrtus communis L., Pistacia lentiscus L. et Lavandula stoechas L. constituants essentielles du sous-bois de la forêt de Ouled-Debbab ( Jijel ) ayant une superficie de 1395,09 hectares, est basée sur les prélèvements, de rameaux pour Myrtus communis L. et Pistacia lentiscus L., et des sommités fleuries pour Lavandula stoechas L. dont nous avons déterminé les rendements en huiles essentielles par hydrodistillation. Les unités de végétation ( Forêt, Matorral, Maquis et Pelouse ) ont été délimitées par photointerprétation, et révèle que les 2/3 du sous-bois sont des espèces aromatiques. La production en huiles essentielles est importante au niveau de la forêt et diminue avec sa dégradation en matorral, ensuite en maquis où cette production est relativement faible. Contrairement à celle de Pistacia lentiscus L., elle est importante dans le maquis et diminue au niveau du matorral et forêt. La production des huiles essentielles de Lavandula stoechas L. est importante surtout au niveau de la pelouse.Item Écologie de quatre (04) espèces de Colombidés (Columba palumbus, Streptopelia turtur, Streptopelia decaocto, Streptopelia senegalensis) dans trois (03) biotopes de la région algéroise.(2009-07-04) SELLAMI, MadihaTitre : Ecologie de quatre (04) espèces de colombidés Columba palumbus, Streptopelia turtur, Streptopelia decaocto, Streptopelia senegalensis dans trois (03) biotopes de la région algéroise. L’étude menée en printemps 2007 sur quatre espèces de colombidés dans 3 milieux de la région algéroise: urbain (Institut National Agronomique), sub-urbain (Jardin d’Essai du Hamma) et forestier (Réserve de Chasse de Zéralda) a eu pour objectif la connaissance de l’écologie des espèces notamment la variation de leurs densités et leurs cartographie des territoires. Dans cette optique, deux méthodes de dénombrement de l’avifaune ont été employées : celle des Indices Ponctuels d’Abondance (I.P.A) et celle des quadrats (ou cartographie des territoires). Le Pigeon ramier, au même titre que la Tourterelle des bois ont montré les densités les plus importantes. Présentes dans tous les milieux, ces espèces semblent les moins exigeantes. En revanche, les espèces de colonisation récentes (Tourterelles, maillée et turque), qui sont absentes en forêt, préfèrent s’installer près de l’homme.Item Essai de vitropropagation de l'arganier(1999) MORSLI, AbdelkaderItem État des lieux des zones humides et des oiseaux d'eau en algérie(2009-05-05) SAIFOUNI, AidaCe travail a porté sur l’exploitation des données d’un inventaire des zones humides algérienne réalisé en 2006, et sur les données des dénombrements hivernaux des oiseaux d’eaux réalisés entre 1999 et 2007, ainsi que sur les données de prospection réalisés en période estivale, sur l’avifaune aquatique nicheuse et ses habitats naturels dans le cadre du lac Tonga (Parc National d’El-Kala). Les recensements des zones humides ont mis en évidence un nombre total de 1497 sites humides en 2006, qui se distribuent dans 52 types d’habitats. L’habitat le plus répandu en Algérie est représenté par les Oasis et Ksar. La majorité de zones humides algériennes sont continentales, et sont plus nombreuses au Nord, principalement à l’Est du pays. Le recensement d’oiseaux d’eau réalisés entre 1999 et 2007, ont accueilli un effectif total des moyens cumulés pour 228 sites, de 248378 oiseaux d’eau hivernants. Les régions de l’Est et des Hauts Plateaux, abritent les effectifs les plus importants en oiseaux d’eau, et sont aussi les plus riches en zones humides. Les habitats humides les plus fréquentés par les oiseaux d’eau, sont les lacs, les chotts et les sebkhas. Les recensements réalisés ont permis l’identification de 96 sites humides algériens d’importance internationale, pour les oiseaux d’eau. Les résultats relatifs à la cartographie numérique du lac Tonga obtenus en 2007, ont permis d’identifier 16 habitats naturels dans lesquels nous avons obtenus 6923 contacts de 19 espèces d’oiseaux d’eau, parmi lesquelles, 16 espèces sont considérées comme étant nicheuses, et 12 espèces font l’objet d’une protection légale. Les densités d’oiseaux d’eau sur le lac Tonga sont variables, la plus forte densité se localise dans le secteur Nord-Est du lac. Les habitats les plus fréquentés par les oiseaux d’eau nicheurs au sein du lac Tonga, sont la Scirpaie, le Rubaniae et la Typhaie. L’approche cartographique utilisée dans l’étude de l’avifaune nicheuse du lac Tonga, a confirmé que les SIG peuvent être utilisés dans la gestion des ressources naturelles.Item Etude de la diversité phénotypique et pathologique de Mycosphaerella graminicola (Fuckel) J. Schröt. et obtention du téléomorphe en Algérie(2011-04-12) AYAD, DjidaLors des prospections réalisées sur deux ans à travers les principales régions céréalières du pays, la septoriose était la maladie la plus fréquente. Mycosphaerella graminicola est un pathogène très répondu là où le blé est cultivé en Algérie ; la sévérité de la maladie durant ces deux campgnes a dépassée 60%. Nous avons pu réussir deux types d’échantillonage : inter-régional et intra-régional qui nous ont permis de réaliser une étude cultural et morphologique de M. graminicola. Ces deux premières études complémentaires nous ont permis de mettre en evidence la variabilité culturale et morphologique des populations de M. graminicola. Cette conclusion a été confirmée par l’étude du pouvoir pathogène des isolats de M. graminicola qui ont encore une fois démontrés une variabilité hautement significative. Ce qui distingue notre travail des travaux réalisés au paravant en Algérie, c’est l’obtention du téléomorphe in vitro. Ce résultat ouvre des perspectives de recherche très importantes sur M. graminicola en Algérie.Item Étude de la germination des graines du Pistacia atlantica Desf. (pistachier de l’Atlas) et essai de multiplication de Pistacia vera L. (pistachier vrai) en pépinière selon deux types de greffes(INA, 2006-10-15) AOUDJIT, HayetNotre étude s’est voulue être une compilation de données relatives aux exigences des semences du pistachier de l’Atlas ( Pistacia atlantica Desf. ) pour obtenir une germination optimale et au greffage du pistachier vrai ( Pistacia vera L. ) assurant le meilleur taux de reprise en pépinière. Il apparaît à travers cette étude que pour obtenir une capacité de germination optimale, les semences du pistachier de l’Atlas doivent être fraîchement récoltées, être scarifiées (éliminer l’éxocarpe mou), imbibées pendant 192h (l’eau étant changée toute les 24h), mises à germer en stratification (sable) humide et à 25°C. Cependant, il faut tenir compte des autres facteurs, le diamètre, la durée du cycle d’éclairement par la lumière blanche et la provenance des semences. L’estimation des critères de qualité des semences fraîches montre qu’elles sont de qualité satisfaisante. Toutefois, la teneur en eau des semences est faible en deçà même des limites pour des graines orthodoxes. La conservation au froid (5°C) provoque l’apparition d’une inhibition de germination d’origine tégumentaire causée par les huiles grasse, essentielles et les tanins contenus dans les semences. Ces substances sont connues pour leur effet inhibiteur de la germination sous des conditions thermiques bien précises. Néanmoins, il est possible d’appliquer des traitements susceptibles de lever cette inhibition (scarification totale ou partielle, stratification froide, lumière blanche, acide gibbérellique et le lessivage). L’essai de greffage du pistachier vrai en pépinière selon deux type de greffe (écusson et chip budding), révèle qu’il est délicat de greffer sur des francs pied de moins de 2ans (ø < 1cm) et que le choix de la technique de greffage et la période sont des critères déterminants quand à la réussite du greffage.Item Etude de la phytodiversité de la cédraie du massif de Chréa (parc national de Chréa, wilaya de Blida) flore et végétation(2012-05-13) BELKHOUS, Mohamed ArezkiL‘étude de la cédraie du Massif de Chréa réalisé selon la méthode phytoécologique , a mis en évidence neufs groupements végétaux : -Le groupement G.1 , abrite de nombreux taxons hygrophiles et humicoles à Cedrus atlantica , Taxus baccata et Ilex aquifolium. -Le groupement G.2 : thermo-xerophile, composé essentiellement de pelouses chamaéphytiques , caractérisé par des espèces pyrophytiques et de surpâturages. -Les groupements G.3 , G.5 , G.6 et G.7 :localisés entre les altitudes 800 à 1000m, correspondent généralement à des forêts et matorrals à Cedrus atlantica, Quercus faginea , et riches en espèces humifères forestières. -Le groupement G.4 est le plus alticole, regroupe des structures de matorrals à cèdre, Juniperus oxycedrus et des pelouses chamaephytiques à Bupleurum spinosum. Il est le résultat d‘une dégradation anthropique. -Les groupements G.8 et G.9 : réunissent surtout des taillis à Quercus ilex et matorrals à Quercus suber. L‘évaluation qualitative et quantitative de la diversité floristique, constitue un indicateur biologique important avant d‘envisager toute action de conservation et de préservation. Il a été recensé 316 espèces appartenant à 205 genres, 61 familles botaniques et à des types biogéographiques divers. Parmi ces espèces 87 espèces sont classées comme espèces assez rares, rares, très rares et rarissimes. Ces ressources naturelles qui entrent dans le développement économique de la région de Blida nécessitent une gestion durable.Item Etude de la qualité du liège de reproduction des subéraies de la région de Jijel(ENSA, 2010-10-20) ROULA, BilalLa variabilité de la qualité du liège de reproduction de cinq suberaies de Texenna (Harma, Djouaneb, Sendouh, Cheraia et Béni-Foughal) a été étudiée par un prélèvement de liège des 14 piles rassemblant la production totale de ces 5 forêts. L’analyse a concerné 3 paramètres (épaisseur de la plaque, densité et porosité). La région fournit un liège d’épaisseur moyenne 29.05 mm, avec une dominance des calibres bouchonnables (Ep ≥ 27 mm), surtout à Béni-Foughal. La productivité moyenne est de 8,34 kg/m². Le liège est moyennement dense et poreux, ce qui explique que seulement 40% du total des lièges produits dans la région est de bonne et de moyenne qualité (1ère à 5ème catégorie), contre 60 % de bas de gamme (6ème à 7ème catégorie et rebut). L’étude de la qualité de liège de Jijel nous a permis de mettre en évidence une forte variabilité individuelle des plaques de liège, que nous pouvons rattacher à la variabilité des caractéristiques sylvicoles et stationnelles des suberaies.Item Etude de la relation entre la circonférence et la hauteur ; et entre la circonférence, la hauteur et l’espacement des arbres(2011-12-18) CHENOUNE, KarimCe travail se veut une contribution à la connaissance de la répartition des tiges de Quercus suber, et à la recherche d’un modèle de croissance en circonférence et en hauteur en intégrant le facteur espacement. Il vise à mettre à la disposition du gestionnaire forestier des informations nécessaires pour appliquer une subericulture adéquate et assoir un plan d’aménagement durable. Au total 30 placettes circulaires de 2 ares ont été installés dans la région de Souk Ahras et 41 placettes à Tizi Ouzou, et ont fait l’objet d’un relevé écologique de mesures dendrométriques. Les résultats obtenus révèlent que les différents peuplements inventoriés sont très dense. La distribution des tiges par classe de diamètre est monomodale, de tendance gaussienne, confirmé par le test de Kolmogarov et Smirnov et coïnciderait avec une structure régulière ; à l’exception à El Hamra où elle ne suit pas la loi normale, et qui laisserait penser, que sa structure tendrait vers la norme de la futaie jardinée que de nombreux auteurs suggèrent. Pour le modèle de croissance, c’est celui, utilisant la circonférence à 1.30 m comme variable expliquée, et la hauteur totale, l’espacement maximal et le diamètre du houppier comme variables explicatives, qui s’ajuste le mieux aux données d’inventaires (R²= 0.72)