Département Zoologie Agricole
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Item Ethologie et régime Alimentaire du Martinet Pâle Apus pallidus (Shelley, 1870) (Aves, Apodidae), dans un milieu suburbain (Littoral Algérois)(ENSA, 2000-09-25) SEBAA – BOUTEHRA, RazikaApus pallidus est une espèce migratrice insectivore. Elle est en Algérie au moi d’avril et repart vers la mi-août pour l’hivernage.l’étude de l’éthologie est faite .Le comportemment des parents durant le nourrissage est suivi à raison d’un jour sur deux, durant trois heures la matinée et trois heures l’après midi et cela jusqu’à l’envol des oisillons. L’etude du régime alimentaire d’Apus pallidus repose sur l’analyse au laboratoire des fientes par la voie humide alcoolique. Ses fientes sont récoltées à raison de 15 fientes par mois et cela durant une période allant du mois d’août 1995.Les résultats que nous avons obtenus ont permis d’en déduire que l’essentiel du régime alimentaire du martinet pâle est constitué par des insectes soit 99,8 % en 1994 et 99,9 % pour les deux stations en 1995. Les proies de remplacement représentent un taux plus faible avec 0,17 % pour les Arachnides en 1994 et 0,05 pour la station 1 et 0,03 pour la station 2 en 1995. Apus pallidus présente un régime alimentaire opportuniste ou généraliste.Item Place des insectes dans le régime alimentaire des mammifères dans la montagne de Bouzeguène (Grande Kabylie)(INA, 2005) BRAHMI, KarimaLa place des Insecta dans le régime trophique de Genetta genetta, d’Herpestes ichneumon, d’Atelerix algirus et de Crocidura russula est étudiée dans 5 stations dans la montagne de Bouzeguène (36° 33’ à 36° 37’ N.; 4° 33’ à 4° 37’ E.), à étage bioclimatique per-humide, et à hiver frais. Les disponibilités trophiques sont étudiées grâce à 3 techniques, celles des pots Barber, du filet fauchoir et des quadrats. Ainsi 3.211 Vertébrés et Invertébrés répartis entre 341 espèces sont piégés dans les pots Barber. Grâce au filet fauchoir 593 Arthropoda répartis entre 56 espèces sont attrapés, et 822 Orthoptéroïdes appartenant à 41 espèces sont notés dans les quadrats. L’étude des menus trophiques des 3 premières espèces de Mammalia retenues est menée grâce à l’analyse des crottes. Par contre, celui de la Musaraigne musette est fait par l’analyse des contenus stomacaux. Chez la Genette commune, 1217 individus dont 812 Insecta (66,7 %) et des Plantae (28,4 %) sont mentionnés. En biomasse, les Oiseaux qui dominent (45,5 %) suivis par les Mammalia (21,5 %) et les Insecta (13,3 %). Les proies ingérées par la Mangouste ichneumon sont au nombre de 57 individus appartenant aux animaux et aux végétaux. Les insectes occupent le premier rang (66,7 %) devant les Plantae (21,1 %). En terme de biomasse, les oiseaux dominent (80,4 %), devant les insectes (13,4 %) et les Plantae (2,6 %). Le menu du Hérisson d’Algérie est suivi dans 2 stations. Dans celle de Boualem, 937 individus ingérés sont répartis entre 7 catégories trophiques et 15 ordres dont le plus fréquent est celui des Hymenoptera avec 754 individus (80,5 %) suivi par les Coleoptera avec 98 individus (10,5 %). En biomasse ce sont les Chilopoda qui occupent le 1er rang (54 %) devant les Insecta (40,6 %). A Quiquave, les Coleoptera occupent la première place (34,6 %) suivis par les Chilopoda (15,0 %). Par contre en biomasse, les Insecta (48,7 %) et les Chilopoda (44,9 %) dominent. Mais les proies les plus ingérées sont de la classe de taille de 8 mm (52,8 %). Crocidura russula mange surtout des Hymenoptera (32,2 %), des Diptera (22,6 %) et des Coleoptera (15,0 %). Mais en biomasse, les Myriapoda occupent la première place (59 %) suivis par les Chilopoda (19,7 %). La classe de taille qui correspond au plus grand nombre de proies consommées est celle de 3 mm (14,2 %) suivie par celle de 5 mm (11,0 %).Item Aspects bioécologiques de l’avifaune à Hassi Ben Abdallah et à Mekhadma dans la Cuvette d’Ouargla(INA, 2005-05-19) ABABSA, LabedDans les deux palmeraies, Mekhadma et Hassi Ben Abdallah, se situant dans la région d’Ouargla, le dénombrement de l’avifaune montre une richesse importante égale à 43 espèces. La répartition des espèces aviennes par station a donnée 34 espèces d’oiseaux dans la station de Mekhadma et 28 espèces dans celle de Hassi Ben Abdallah. Les valeurs de l’indice de diversité de Shannon- Weaver appliqué aux oiseaux sont de 2,71 bits à Mekhadma et de 2,53 bits à Hassi Ben Abdallah. L’analyse des pelotes de rejection d’Athene noctua montrent que la classe des Insecta occupe la première place dans le spectre alimentaire (86, 2 %), suivie par les catégories des Rodentia (5,4 %), des Aves (3,9 %), des Insectivora (2 %), des Aranea (1,5 %) et des Reptilia (1 %). Pour ce qui concerne le régime alimentaire de Lanius excubitor elegans la catégorie des Insecta domine avec un pourcentage de 87 %, suivie par celle des Arachnida (9,6 %) et des Rodentia (2,9 %). L’analyse du contenu des tubes digestifs de 5 individus appartenant à Turdoides fulvus montre la présence de deux fractions trophiques. La première est d’origine animale (91,8 %). La deuxième est végétale (8,2 %).Item Contribution à l'étude des insectes des cônes et des graines dans quelques peuplements forestiers en Algérie(2005-07-04) ARABDIOU, YasmineLe présent travail porte sur l’étude de trois parties. La première concerne l’inventaire entomologique de Cedrus atlantica, de Pinus halepensis, de Juniperus oxycedrus et de J.phoenicea dans trois stations d’études à savoir la cédraie de Chréa, la cédraie de Khenchela et enfin la pinède de Senalba Chergui à Djelfa. Cette étude nous a permi de recenser 24 espèces appartenant à différents ordres taxonomiques. Les ordres qui renferment le plus d’espèces sont l’ordre des Coléoptères et des Hyménoptères. La deuxième partie porte sur l’étude des dégâts sur les cônes et les graines des essences résineuses étudiées. Le taux d’attaque est plus important à Khenchela qu’à Chréa. A Djelfa, le taux d’attaque des cônes de P.halepensis n’est pas moins élevé que sur C.atlantica. La troisième partie porte sur l’étude de la répartition des dégâts sur cône. Les résultats ont montrés que les espèces inféodées aux cônes de C.atlantica à Chréa sont voisines de celles de Khenchela mais différentes de celle des cônes de P.halepensis à Djelfa. Il s’avère aussi que les insectes répertoriés ont une préférence marquée pour le tiers basal des cônes.Item Zones de reproduction potentielles du Criquet pèlerin Schistocerca gregaria Forskal. 1775 dans le sud algérien(INA, 2005-07-04) LAZAR, MohamedLa délimitation et le suivi de l’évolution de la végétation aux moyens d’images satéllitales au niveau des zones de reproduction potentielles du Criquet pèlerin Schistocerca gregaria Forsk. 1775 dans le sud algérien par la réalisation d'un système d'information géographique, intégrant toutes les composantes statiques d'un paysage désertique a permis de cartographier le paysage des biotopes de reproduction du Criquet pèlerin, l'intégration des relevés de la végétation et la comparaison des données du terrain à d'autres données fournies par les images SPOT VEGETATION et ALSAT1.Les biotopes où les fréquences des signalisations ont été les plus élevées, se situent respectivement du Sud au Nord dans le Tamesna algéro-nigero-malien, sudouest du Hoggar, Tassili N’Najer, au nord-est du plateau de Tadmait et les périmètres de mise en valeur. La télédétection de la végétation par l’utilisation des images satellitale a montré, que l'Indice de Végétation Différence Normalisée (NDVI) est une méthode efficace pour l'estimation des caractéristiques de la croissance de la végétation. Le régime alimentaire des populations acridiennes solitaires prélevées dans deux stations d’étude de la région de Tamanrasset, n’est pas très varié.Item Les pucerons des agrumes et leurs ennemis naturels à Oued-Aïssi (Tizi- Ouzou)(INA, 2005-11-27) BENOUFELLA-KITOUS, KarimaLa présente étude consiste d’une part à étudier l’écobiologie des pucerons de trois variétés d’agrumes dans la région de Oued-Aïssi (Tizi-Ouzou) et d’autre part à étudier l’impact des ennemis naturels sur les populations aphidiennes. Le suivi des vols des pucerons capturés par les pièges jaunes et celui des colonies formées sur le feuillage des arbres de l’orange Thomson, de l’orange Valencia late et de la Clémentine, a permis de mettre en évidence une richesse de 26 espèces aphidiennes. La richesse spécifique enregistrée dans la parcelle de l’orange Valentia late est la plus importante avec 25 espèces piégées et 5 espèces installées sur le feuillage, suivie par celle de la parcelle de la Clémentine avec 21 espèces piégées et 4 espèces installées sur le feuillage et enfin dans la parcelle de l’orange Thomson. Cette richesse est de 16 espèces piégées et 4 espèces installées sur le feuillage. Les vols saisonniers des pucerons capturés dans les pièges jaunes dans les 3 parcelles d’étude se répartissent entre 2 périodes. La première en automne. Elle correspond au vol de retour des pucerons qui rejoignent leurs hôtes d’hivernation. La deuxième période au printemps. Cette période correspond au vol de contamination et de dissémination des pucerons sur les plantes botaniquement voisines de leurs hôtes primaires ou totalement différentes. De même, le dénombrement visuel des populations de pucerons installées sur le feuillage, a permis de mettre en relief 2 périodes d’infestations : l’une en automne et l’autre au printemps. Ces infestations sont sous la dépendance des conditions de nutrition, des conditions climatiques et de l’action de la faune auxiliaire. Pour ce qui concerne les ennemis naturels, l’étude menée a permis de montrer l’existence de 7 espèces prédatrices appartenant à 4 ordres. Celui des Coleoptera, des Diptera, des Heteroptera et des Neuroptera. Les parasitoïdes par contre sont très faiblement représentés avec un taux de parasitisme compris entre 0.08 et 0.1 %. L’activité de ces auxiliaires (prédateurs et parasitoïdes) a lieu principalement au printemps, période coïncidant avec les conditions climatiques favorables et les fortes pullulations des pucerons. Cette activité reste très faible et insuffisante.Item Variations saisonnières de l’entomofaune du pistachier fruitier Pistacia vera Linné dans la région de Blida(INA, 2006) BOUKEROUI, NadiaTrois méthodes d’échantillonnage, celles des pots Barber, du fauchage au filet fauchoir et du frappement au dessus d’un parapluie japonais sont employées dans l’étude de l’entomofaune du pistachier fruitier à Beni-Tamou. La richesse totale des espèces piégées dans 96 pots Barber est de 123, réparties entre 5 classes dont celle des Insecta (A.R. % = 91,6 %) arrive au premier rang. Les Hymenoptera (A.R. % = 79,3 %) sont représentés les Formicidae avec Pheidole pallidula (A.R. % = 31,3 %), Aphaenogaster testaceo-pilosa (A.R. % = 26,7 %), Cataglyphis bicolor (A.R. % = 8,7 %) et Monomorium sp. (A.R. % = 4,8 %). La qualité de l’échantillonnage est égale à 0,7, la valeur de l’indice de la diversité de Shannon-Weaver atteint 3,8 bits et l’équitabilité 0,6. L’échantillonnage grâce au filet fauchoir a permis d’obtenir une richesse totale de 142 espèces, appartenant à 17 ordres et 4 classes. Les Insecta dominent (A.R. % = 81,2 %) avec les Heteroptera qui viennent au premier rang avec 28,5 % représentés par Mecomma sp. (A.R. % = 27,6 %). La qualité de l’échantillonnage est égale à 1,8, l’indice de la diversité de Shannon- Weaver atteint 5,3 bits et l’équitabilité 0,7. L’échantillonnage à l’aide du parapluie japonais concerne 120 espèces, appartenant à 15 ordres et 3 classes dont celle des Insecta (A.R. % = 69,8 %) occupe le premier rang représentés notamment par les Psocoptera (A.R. % = 28,4%) qui occupent la première position avec l’espèce indéterminée Psocoptera sp. 1 qui intervientavec la fréquence centésimale la plus élevée (A.R. % = 15,9 %). La qualité de l’échantillonnage est égale à 0,5, l’indice de la diversité de Shannon-Weaver à 5,8 bits et l’équitabilité E à 0,8entre septembre 2004 et août 2005.Item Variations du régime alimentaire de la Chouette effraie Tyto alba (Scopoli, 1759) (Aves, Tytonidae) aux abords du barrage de Boughzoul(INA, 2006-01-19) HAMANI, AdelL’étude du régime alimentaire de la Chouette effraie aux abords du barrage de Boughzoul entre 1995 et 1999 est basée sur l’analyse de 521 pelotes de rejection qui contiennent 958 proies. Les proies trouvées dans le menu trophique de Tyto alba sont des rongeurs (67,6 %), des oiseaux (16,6 %), des insectes (11,3 %), des insectivores (4,4 %) et des chiroptères (0,1 %). Les proies les plus abondantes sont Meriones shawi (20,4 %), Mus spretus (18,1 %) et Psammomys obesus (10,5 %). La richesse totale est de 56 espèces, le maximum est noté en 1998 (37 espèces) et le minimum en 1997 (12 espèces). La valeur de H’ est de 3,98 bits. Elle est de 3,5 bits en 1995, 3,1 bits en 1996, 2,4 bits en 1997, 3,7 bits en 1998 et de 3,5 bits en 1999. La valeur de E durant chacune des 5 années d'étude, est supérieure ou égale à 0,65. Le pourcentage de représentation (PRO %) des ossements des micromammifères est de 86,8 % et leur taux de fragmentation (PF %) est égal à 34,2 %.Item Ecologies trophique des poussins de la Cigogne blanche Ciconia ciconia (Linné, 1758) dans la vallée du Sébaou, en Kabylie (Algérie)(INA, 2006-04-12) FELLAG, MustaphaL’étude de l’écologie trophique est effectuée dans deux stations de la vallée du Sébaou (Tadmaït et Fréha), compte tenu de l’accessibilité des nids de cigognes y établis. L’analyse des restes au nid, récoltés depuis l’éclosion jusqu’à l’envol des jeunes, révèle la prédominance des insectes avec un taux de 96,4 % et une fréquence d’occurrence de 100 %. Les coléoptères sont les plus représentés avec un taux de 92,6 % et une fréquence d’occurrence de 95 %. Quant aux orthoptères, ils contribuent avec 2,8 % seulement, mais sont présents dans presque la moitié des lots récoltés (FO = 45 %). L’indice d’importance relative IRI permet de classer les curculionidés dans la catégorie des proies préférentielles (IRI= 65,1 %) et les scarabéidés dans celle des proies secondaires (IRI= 82,5 %), les autres proies sont accidentelles. La règle de Sturge détermine 7 classes de taille des proies. La prévalence des proies dont les tailles # 20 mm (NA = 101) et # 40 mm (NA = 79) est notable. L’indice d’Ivlev est nul pour les rongeurs et les mantoptères. L’analyse des proies vomies par un cigogneau (n=1) révèle 100 % d’invertébrés, dont les insectes constituent l’essentiel des proies, avec 93,5 %. Les diptères dominent avec 71,4 % du total des proies mais avec une faible biomasse (5,6 %), suivis des orthoptères avec 14,9 % en terme d’abondance mais avec une forte biomasse (52,9 %). Les coléoptères, quant à eux, ne sont représentés qu’avec 5,2 % du total et une très faible biomasse (0,9 %). A ne pas perdre de vue la place qu’occupent les myriapodes en s’imposant avec une biomasse relativement élevée (33,9%), bien qu’ils soient faiblement abondants (n = 5,2 %).Item INVENTAIRE DES ACARIENS DE LA VIGNE (Vitis vinifera)DANS LES REGIONS DU CENTRE ALGERIEN(INA, 2006-06-25) AOUDJIT, RabahL’inventaire des acariens de la vigne dans la région du centre algérien, a révélé la présence de onze espèces qui se répartissent dans deux ordres et quatre familles. Trois espèces sont phytophages, appartiennent à l’ordre des Actinédida , il s’agit de Tetranychus urticae Koch (Tetranychidae), Eriophyes vitis (Eriophyidae) et Tenuipalpus granati (Tenuipalpidae). Les huit autres espèces sont prédatrices et appartiennent toutes à l’ordre des Gamasida, représenté avec une seule famille Phytoseiidae et quatre genres : Typhlodromus (3 espèce), Phytoseius (2 espèces), Euseius (2 espèces) et Iphiseius (1 espèce) . L’étude des fluctuations des populations de Phytoseius plumifer et Eriophyes vitis, nous a montré que le niveau de la population de l’acarien phytophage est resté relativement bas contrairement à la population du phytoseiide dans le vignoble étudié durant toute la durée du suivi. Comme nous avons pu constater une sensibilité plus importante aux produits phytosanitaires chez la population du phytoseiide par rapport à celle constaté chez l’eriophyde.Item Etude du niveau d’infestation par la cochenille blanche Parlatoria blanchardi Targ., 1868 (Homoptera, Diaspididae) sur trois variétés de palmier dattier dans une palmeraie à Biskra(INA, 2006-06-26) MEHAOUA, Mohamed SeghirEtude du niveau d’infestation par la cochenille blanche Parlatoria blanchardi Targ., 1868 (Homoptera, Diaspididae) sur trois variétés de palmier dattier dans une palmeraie à Biskra Le but de ce travail est d’étudier le niveau d’infestation de la cochenille blanche (Parlatoria blanchardi Targ.) sur trois variétés de palmiers dattiers (Deglet Nour, Degla Beida et Ghars) dans la région de Biskra. Nos résultats ont montré que les deux variétés Deglet Nour et Ghars sont plus sensibles aux attaques de la cochenille comparativement à la variété Degla Beida qui s’avère plus résistante. Le diagnostic foliaire a montré que la pullulation de la cochenille blanche est influencée par les taux des éléments minéraux, de sucre totaux et la teneur foliaire en eau. Les teneurs élevées en Azote, Calcium, Magnésium et sucres totaux avec des teneurs faibles en Potassium et en eau ont été enregistrés chez les variétés les plus infestées. Par contre, la variété la moins infestée montre des teneurs les plus élevés en Potassium et en eau et les plus faibles en Azote, Calcium, Magnésium et Sucre totaux.Item Insectivorie du Hérisson d’Algérie Atelerix algirus (Lereboullet, 1842) dans la forêt de Beni Ghobri (Tizi-Ouzou)(INA, 2006-06-26) MIMOUN, KarimPour l’étude des disponibilités trophiques du Hérisson d’Algérie dans la forêt de Beni Ghobri (Yakouren) en 2004-2005, les proies potentielles sont piégées grâce aux pots-pièges et au filet fauchoir. Dans les pots Barber 1.775 petits animaux sont capturés. Les Insecta sont les plus abondants (96,2 %), suivis par les Arachnida (2,3 %) et les Myriapoda (0,4 %). Parmi les Insecta, les plus abondants sont les Hymenoptera (81,3 %), suivis par les Diptera (6 %) et les Coleoptera ( 3 %). La qualité d’échantillonnage est de 0,86, l’indice de diversité de Shannon-Weaver de 3,47 bits et l’équitabilité E de 0,47. Avec la méthode du fauchage, 98 espèces sont capturées dont la plupart sont des Insecta avec les Orthoptera (26,5 %), les Coleoptera (26,5 %), les Diptera (16,3 %) et les Hymenoptera (11,2 %), suivis par les Arachnida (5,1 % ). La qualité d’échantillonnage des espèces prises au filet fauchoir atteint 1,43. L’indice de Shannon-Weaver est de 5,62 bits et l’équitabilité 0,94. L’étude du menu du Hérisson d’Algérie dans la forêt de Beni Ghobri grâce à l’analyse du contenu de 33 crottes met en évidence 4.540 éléments trophiques dont 145 espèces animales et 7 végétales. Les Insecta sont les plus ingérés avec les Hymenoptera (93,0 %) dont les Formicidae (91,9 %) avec l’espèce Crematogaster auberti (37,1 %). L’indice de diversité de Shannon-Weaver des espèces-proies présentes dans les crottes atteint 3,18 bits. L’équitabilité est de 0,44. L’indice de sélection d’Ivlev appliqué aux espèces-proies du Hérisson d’Algérie montre des niveaux de sélection très élevés chez les Formicidae comme Aphaenogaster sp. 2 (Ii = + 0,95), Messor sp. (Ii = + 0,94) , Messor barbara (Ii = + 0,93), Tapinoma sp. (Ii = + 0,79) et Crematogaster scutellaris (Ii = + 0,78). La biomasse des proies ingérées est formée principalement par des Hymenoptera (53,4 % ) comme Messor sp. ( 28,8 %), Camponotus sp. 1 (12,5 %) et Messor barbara (8,6 %). La fragmentation des insectes- proies est étudiée pour les Insecta les plus consommés. Chez Les Hymenoptera les parties les plus fragmentées sont les antennes (99,9 %), les tergites et les sternites abdominaux (97,9 % ). De même pour les Coleoptera ce sont les antennes (100 %) et les tergites et les sternites abdominaux (37 %) qui sont les plus brisés. Enfin pour les Orthoptera les élytres sont les parties les plus altérées (100 %).Item Infestation de quelques régions du littoral centre par les nématodes à galles.(INA, 2006-09-16) TEBIB, MustaphaNotre étude a permis, à travers une prospection sur la culture de tomate, de mettre en évidence la répartition de l’infestation par les Meloidogyne, sur le transect Boumerdes, Alger et Tipaza en prenant en considération les conditions agronomiques entourant cette culture dans les régions prospectées. La prospection, nous a permis de révéler la dominance du type d’irrigation en rigole dans 90 % des exploitations de Boumerdes. Les agriculteurs cultivent des plants d’une provenance hors de l’exploitation dans 35 % de parcelles examinés. Nous avons trouvé lors de cette étude une dominance du précédent cultural représenté par des Solanacées dans 76,66 % des parcelles. L’enquête montre l’absence des traitements nématicides dans toutes les régions examinées de Boumerdes, alors qu’ils sont présents dans 55 % à Alger et 70 % à Tipaza. L’infestation a été recensée sur 30 % de l’ensemble des exploitations prospectées. Nous constatons que les régions indemnes notamment celles de l’est d’Alger, sont fragilisées par le mode d’irrigation par rigole, l’utilisation de plants produits hors de l’exploitation, la succession du précédent cultural de la même famille botanique et en fin l’absence ou la mauvaise application de nématicides, ce qui favorisent la prolifération et l’expansion des Meloidogyne. Le test de sensibilité relatif à sept variétés de pomme de terre vis-à-vis des nématodes à galles, effectué au laboratoire de nématologie de l’INA (Alger) ; nous a fourni des informations sur la durée du cycle biologique ainsi que le degré de sensibilité de chaque variété. Les observations au niveau des racines nous ont montré la sensibilité de chaque variété : par le nombre de galles ainsi que par le nombre de femelles qui ont terminé leur cycle biologique en formant des masses d’œufs. Suite à cela, nous pouvons classer nos variétés selon leur degré de sensibilité suivant cet ordre : Désirée, Safrane, Spunta, Atlas, Margarita, Timate et Arinda.Item Etat d’infestation de quelques régions céréalières d’Algérie par le nématode à kystes (Heterodera).(INA, 2006-10-25) HAMROUN, WahibaEtat d’infestation de quelques régions céréalières d’Algérie par le nématode à kystes (Heterodera). Capacité d’hôtes de six variétés de blé dur local vis-à-vis d’une population de ce parasite. L’étude de l’état d’infestation et de la distribution des nématodes à kystes (Heterodera) des céréales dans quelques régions d’Algérie a révélé la présence du nématode à kystes des céréales au niveau de toutes ces régions étudiées à l’exception de celles de Tipaza (Aïn Tagouraït et Sidi Rached) qui se sont révélées indemnes. L’étude morphobiométrique des kystes de cinq populations de ce nématode d’origine diverse a permis d’identifier deux espèces différentes. H. avenae esttrès fréquente. La deuxième espèce, H. latiponsest mise en évidence uniquement à Dar El Beïda. L’étude de l’effet de la température du sol sur l’éclosion des larves de deuxième stade (L2) d’Heterodera avenae sur les populations d’Oued Smar, Aïn Defla, Tiaret, Béjaïa et Mostaganem montre que ces dernières appartiennent à l’écotype méditerranéen (méridional). L’essai du comportement variétal de six variétés de blé dur vis-à-vis d’H. avenae montre que les variétés testées (Waha, Inrat 69, Oued Zenati, Bidi 17, Mohamed Ben Bachir et Hedba 03) sont des hôtes à différents niveaux de sensibilité vis-à-vis de ce parasite. Le nombre des kystes néoformés en fin de culture confirme que la variété de blé dur « Bidi 17 » est multiplicatrice.Item Relations Invertébrés-fève (Vicia faba Linné)(INA, 2006-11-09) BOUSSAD, FarizaDans un champ de fèves de la ferme pilote d’El-Alia, 1.723 Invertébrés sont piégés dans des pots Barber, appartenant à 5 classes dont la plus fournie en individus est celle des Insecta avec 1506 individus (87,4 %). La richesse est de 209 espèces qui se répartissent entre 17 ordres. Les Homoptera sont les plus fréquents avec Aphis fabae (N = 138 ; A.R. % = 8 %). Dans les assiettes jaunes dans la même parcelle, 2.081 individus capturés se répartissent entre 3 classes dont les Insecta. Une espèce à risque, la mineuse de la fève Agromyza sp. (N = 110 ; A.R. % = 5,3 %) est notée (Diptera). Mais les Hymenoptera sont peu fréquents comme Braconidae sp. 1 est observé avec 53 individus (2,6 %) probablement un parasite. Les Homoptera sont vus avec Aphis fabae avec 116 individus (5,6 %). Par le secouement des plants de fèves, 48 espèces d’Invertébrés sont capturées en janvier - avril. Parmi les ravageurs capturés, il est à noter Helix aspersa, H. aperta, Helicella sp., Euparypha sp., Otala sp., Sitona sp., Lixus algirus, Noctuidae sp. ind. (chenilles) et Agromyza sp. Les prédateurs trouvés sont Coccinella algerica, Adonia variegata, Polistes gallicus et quelques parasites comme Apanteles glomeratus, Praon volucre et Braconidae sp. ind. Quant à l’étude des dégâts dus aux Invertébrées sur la fève dans la ferme pilote d’El-Alia, il est à noter que les taux de feuilles attaquées les plus élevés sont enregistrés en février (53,9 %) et en janvier (46,5 %) et les plus faibles en mars (23,4 %) et en avril (29,5 %). Notons qu’en général les plus fortes ingestions concernent les feuilles sises à mi-hauteur sur les plants. 61 % de graines de fève sont infestées par Bruchus rufimanus et portent de 1 à 5 trous. Pour ce qui est de l’éthologie d’Aphis fabae sur 4 variétés de fève sous serre, les durées moyennes du développement larvaire d’Aphis fabae varient entre 9,8 et 10,1 jours. La durée de vie imaginale est de 29,7 jours sur ‘’aguadulce’’ et 24,9 jours sur la variété ‘’8/9 128’’. La plus longue durée moyenne de la vie reproductive est vue sur la variété ‘’aguadulce’’ avec 19,7 jours, contre 15 jours sur la variété ‘’giza 402’’. La plus grande fertilité avec 78,6 larves est notée sur ‘’aguadulce’’ et la plus faible avec 58 larves sur ‘’reina blanca’’. Pour le test de la recherche du préférendum, l’attractivité est observée sur les variétés résistantes ‘’8/9 128’’et ‘’giza 402’’ par rapport aux variétés sensibles ‘’reina blanca’’ et ‘’aguadulce’’.Item Etude de quelques aspects bioécologiques de la Sauterelle pèlerine Schistocerca gregaria Forskäl (1775) (Acrididae, Cyrtacanthacridinae)dans la région d’Adrar (Sahara, Algérie)(INA, 2007) KHERBOUCHE, YasminaCe présent travail, concernant l’étude bioécologique (biométrie, charge alaire et régime alimentaire) du Criquet pèlerin, a été effectuée suite a l’invasion qu’a connue l’Algérie en février 2004. Concernant l’étude biométrique, la comparaison des rapports (E/F) et (F/C) à l’échelle de Dirsh (1953), nous a permis d’attribuer la totalité des populations capturées dans les régions, d’Adrar, d’Oued Souf et de Touggourt à la forme grégaire. L’utilisation de l’abaque morphométrique donnée par Duranton et Lecoq (1990) et l’application de l’analyse en composante principale, nous montre que ces mêmes populations sont hétérogènes avec présence d’individus transiens, transiens congrégans et grégaires. L’étude de la charge alaire qui est donnée par le rapport du poids du criquet à la somme des surfaces des ailes de la première et de la seconde paire, nous montre une différence nettement remarquable entre les deux sexes chez les adultes. En effet les mâles ont une charge alaire (0,42 à 0,43 mg / mm2) moins importante que celle des femelles (0,51 à 0,49 mg / mm2). Par contre, chez les imagos, les mâles et les femelles ont la même valeur de la charge alaire (0,56 mg / mm2). L’étude du régime alimentaire a été réalisée dans trois stations Bouda, Baamar et zone industrielle situées à Adrar (0° 11’E.; 27° 49’N.) à 1543 km au sud d’Alger. Dans la station de Bouda, nous avons noté la présence de cinq espèces végétales identifiées dans les fèces des mâles et des femelles. Phoenix dactylifera est l’espèce la plus appréciée chez les mâles (62,86 %) et chez les femelles (62,05 %). Dans la station de Baamar, six espèces végétales sont identifiées dans les fèces des femelles et quatre dans celles des mâles. L’espèce végétale la plus consommée chez les deux sexes est Arundo plinii avec 57,18 % chez les femelles et 83,53 % chez les mâles. Pour ce qui est de la station de zone industrielle sept espèces végétales sont identifiées dans les fèces des mâles et huit espèces dans celles des femelles. Phoenix dactylifera est l’espèce la plus consommées par les femelles avec un taux de 37,63 %, tandis que chez les mâle le taux de consommation le plus élevé est noté pour Dicotylédone sp4 avec 35,39 %, suivie par Phoenix dactylifera avec 34,35 %.Item Activité acaricide de quatre huiles essentielles sur Tetranychus cinnabarinus Boisduval 1867 (Acari ; Tetranychidae ) et contribution à l’étude de leur composition chimique par GC/MS(INA, 2007) SAHEB, DalilaLa composition chimique des huiles essentielles de la Menthe verte(Mentha viridis) , du laurier noble(Laurus nobilis), du romarin (Rosmarinus officinalis)et du thym (Thymus palecsense) Dont l’extraction est réalisée par hydro distillation, est obtenue par Chromatographie en phase Gazeuse couplée à la Spectrométrie de Masse. Leur toxicité vis- a vis des formes mobiles et des œufs de T. cinnabarinus (Acari : Tetranychidae)est évaluéedans des conditions de laboratoire (25°C ±2 et 75% HR ± 5) thym thymol, (43,22%). 5 doses des 4 huiles essentielles sont préalablement mises en suspension aqueuse maintenue par agitation constante (0,125, 0,25, 0,5, 1, 2 %), sont appliquées par trempage de disques de feuilles de haricot. Les différents tests de toxicité sont évalués sur 30 formes mobiles ou 50 œufs. On évalue les mortalités et les DL50. Les résultats ont montré une grande efficacité des quatre huiles essentielles (mortalité voisine de 100% à la plus forte dose). D’après les DL50 sur les formes mobiles : le thym est le plus toxique (0,05%) suivit du romarin (0 ,1%) du laurier (0,15%) et de la menthe (0,15%) et sur les œufs le classement est le même mais les DL50 sont un peu plus élevéesItem Bioytématique des Aphidae et leur place dan l’entomofaune de l’oranger dan la plaine de la Mitidja(INA, 2007) MOHAMMEDI-BOUBEKKA, NabilaLa place des Aphidae dans l’entomofaune de l’oranger dans la plaine de la Mitidjaest étudiée grâce à trois méthodes d’échantillonnage, les pots Barber, les pièges jaunes et la cueillette à la main. Les stations choisies sont : l’orangeraie d’El-Djemhouria, l’orangeraie de la station horticole de l’institut national agronomique d’El-Harrach et l’orangeraie de l’institut de technologie de l’horticulture. La famille des Aphidae présente respectivement pour les trois orangeraies 1,10 %, 0,87 % et 1,37 % de l’effectif total et 2.5 %, 3,33 % et 2,13 % de la richesse totale trouvés dans les pots Barber. En ce qui concerne les pièges jaunes, il est à remarquer que la faune aphidiennea enregistré àl’orangeraie de l’institut de technologie de l’horticulture le taux le plus élevé en nombre d’individus (3,75 %), suivie par l’orangeraie d’El Djemhouria avec 2,82 % et l’orangeraie de la station horticole de l’institut national agronomique d’El-Harrach avec 1,65 %. Par contre en terme de richesse totale, c’est à l’orangeraie d’El-Djemhouria qu’a été enregistré le taux d’Aphidae le plus important avec 5,13 %, suivie parl’orangeraie de l’institut detechnologie de l’horticulture avec 4,12 % et l’orangeraie de la station horticole de l’institut national agronomique d’El-Harrach avec 2,02 %. A propos de la place des Aphidae dans l’entomofaune associée à l’oranger, le taux le plus élevé est enregistré à l’orangeraie d’El-Djemhouria avec 26,67 %. Suivie par l’orangeraie de l’institut de technologie de l’horticulture avec 16,67 %. En dernier on trouve l’orangeraie de la station horticole de l’institut national agronomique d’El-Harrach avec 14,29 %. Les espèces de la famille Aphidae inféodées aux agrumes recensées au niveau des trois orangeraies sont Aphis citricola, Aphis gossypii et Aphis craccivora du genre Aphis et Toxoptera aurantii du genre Toxoptera.Item Etude faunistique, en particulier l’entomofaune du parc zoologique de Ben Aknoun(INA, 2007-06-27) REMINI, LouizaL’étude menée dans la Friche, Maquis, Forêt ; trois sous stations au parc zoologique d’Alger est une contribution à la connaissance de la faune du Sahel algérois. Les 5 types de pièges appliqués à l’entomofaune du milieu, ont permis de capturer 576 espèces d’invertébrés, réparties entre 5 classes, 26 ordres, et 142 familles. Les Insecta sont majoritaires, surtout les Hymenoptera et les Diptera. Les familles les plus fréquentes sont les Formicidae représentés par Aphaenogaster testaceo-pilosa et les Cyclorrhapha F.Ind. Concernant les oiseaux, 54 espèces aviennes sont recensées appartenant à 13 ordres et 29 familles avec une forte fréquence de Columba palumbus et Passer sp. Quant aux Mammifères, 10 espèces sont inventoriées, réparties entre 5 ordres et 7 familles. Par ailleurs, les Reptiles sont présents avec 5 espèces, et les Amphibiens avec 2 espèces.Item Bioécologie de Schistocerca gregaria Forskål, 1775 (Othoptera, Cyrtacanthacridinae) dans la région de l’Ahaggar(INA, 2007-07) Kaidi, Narimen