Département Botanique

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    Recherche et caractérisation de la microflore bactérienne et fongique associée à l'olivier dans quelques régions du centre du pays2
    (2024-12-17) KEMMAR, Imene
    L’olivier (Olea europea. L) occupe la 24éme place des 35 espèces les plus cultivées dans le monde. En Algérie, l'oléiculture occupe une place prépondérante dans le secteur fruitier, avec une production de 822 973,59 tonnes s'étendant sur une superficie de 457 609 hectares en 2022 selon les estimations de la FAO. Parmi les facteurs limitant la production agricole, les maladies bactériennes et fongiques représentent une menace majeure pour la culture de l'olivier, compromettant à la fois la santé des arbres et la productivité des vergers. Notre travail avait pour objectif, d’une part d'identifier les espèces bactériennes responsables des tumeurs sur les oliviers. Cela a été réalisé en s'appuyant sur leur isolement, purification, et caractérisation phénotypique, pathogénique et également par vérification de la réaction d'hypersensibilité sur tabac et inoculation sur feuilles détachées. D’autre part, de caractériser, d’identifier et inventorier les agents fongiques associés aux symptômes foliaires observés sur l’olivier. Nous avons pu isoler et identifier 31 isolats bactériens, présents au niveau des tumeurs,attribués selon leurs profils à plusieurs genres ; Pseudomonas, Pantoea, Erwinia et Enterobacter. L’analyse de la mycoflore sur feuilles symptomatiques nous a permis d’identifier six genres fongiques à savoir : Phyllosticta, Phoma, Dothiorella, Botryosphaeria, Neofusicoccum et Septoria. Ces résultats montrent bien l’émergence de nouvelles maladies en Algérie sur olivier et constituent une alerte quant à l’état sanitaire des oliviers algériens.
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    Contribution à l’étude de la tristeza des agrumes (CTV) : Caractérisation biologique et mise au point de méthodes de lutte.
    (2010-04-11) KHEDDAM, Hocine
    La tristeza est la maladie virale la plus importante des agrumes dans le monde entier. Notre contribution a porté sur la localisation des sites prés de la zone de quarantaine, sur la base d’un diagnostic symptômatologique, le symptôme le plus dominant dans nos vergers est le dépérissement. Sur les 4 sites prospectés, 3 sont contaminés par cette affection à des taux d’infection qui varient de 24 à 76%. L’identification réalisée à permis de montré la présence du CTV dans différents vergers avec un taux d’infection de 39%, mais les résultats de L’indexage a montré que l’isolat Algérien du CTV est peu pathogène Parmi les techniques utilisées dans l’assainissement, la thermothérapie et le micro- greffage de l’apex ont une grande efficacité pour éliminer les maladies virales telles que le CTV comme l’ont montré nos résultats qui classent le traitement 3 (la combinaison des deux méthodes) en premier par un pourcentage d’efficacité suivi par le traitement 2 (thermothérapie) et en dernier le traitement 1 (microgreffage).
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    Isolement purification et culture de protoplastes de pomme de terre (Solanum tuberosum L.) variété Désirée
    (2011-02-16) AMZAL, Tassadit
    Notre travail a porté sur l’isolement, la purification et la culture de protoplastes de pomme de terre (Solanum tuberosum L.), variété Désirée. Pour ce faire deux types d’explants ont été utilisés, des feuilles de vitroplants âgés de 6 à 7 semaines issus de culture de bourgeons prélevés sur des germes de tubercules prégermés et des cals friables (d’entre nœuds et de feuilles) âgés de 4 à 5 semaines issus du repiquage des cals durs. Les concentrations d’enzymes 1% de cellulase trychoderma et 0.3% de macérozyme R-10 ; pH de 5 et 0.5 mole de mannitol ont permis l’obtention des meilleurs rendements (plus de 106 protoplastes/g- MF) après 3h00 et 6h00 de macération respectivement pour les protoplastes de feuilles et ceux issus de cals friables. La macération a été réalisée dans la solution MS sans sucre. L’addition du CaCl2 à une concentration de 0.05 mole s’est avérée bénéfique pour la stabilité de la membrane plasmique des protoplastes issus de feuilles de vitroplants, les protoplastes de cals se sont montrés plus stables sans CaCl2. Au cours des essais de purification sur monocouche de saccharose les concentrations et vitesses de centrifugations 30% pendant 15 mns et 21% pendant 20 mns ont permis une bonne purification respectivement pour les protoplastes de feuilles de vitroplants et ceux issus de cals friables (d’entre nœuds et de feuilles). Le milieu de culture MS (macoéléments/2 sans NH4NO3; microéléments/2 + 3mg/l d’ANA + 1mg/l de BAP + 0.18 mole de glucose + 0.18 mole de mannitol + 0.07 de saccharose) a permis d’obtenir le meilleur taux de division qui a été de 21.22%. Le stade de microcolonies (plus de 10 cellules) a été atteint
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    Recherche de génotypes de blé dur résistants à l'égard de Mycosphaerelle graminicola (Fuckel) J. Schr t. (Septoria tritici Rob. ex Desm.) agent causal de la tache septorienne du blé
    (2015-04-20) ZIBANI, Abdenour
    L’objectif de ce travail est d’évaluer in vitro et au champ le comportement de 8 lignées généalogiques et 4 variétés parentales de blé dur à l’égard de 2 isolats de Mycosphaerella graminicola, agent causal de la tache septorienne du blé, l’un isolé à partir de blé dur et l’autre à partir de blé tendre. Cette étude a montré que l’isolat collecté sur le blé dur est plus agressif que celui collecté sur le blé tendre, aussi bien in vitro qu’au champ et quel que soit le génotype. La lignée G3 (Ardente X Waha 221) s’est montrée résistante à l’isolat de blé tendre et modérément résistante à l’isolat de blé dur, tandis que les lignées G1 (Saadi X Waha 431), G2 (Ardente X Waha 423), G4 (Ardente X Siméto 133), G5 (Ardente X Siméto 151) et G6 (Ardente X Siméto 164) se sont montrées modérément résistantes à chacun des deux isolats. Ces lignées semblent intéressantes comme sources de résistance à la septoriose. La lignée G7 (Siméto X Vitron 113) et les parents G10 (Ardente barbe blanche), G11 (Waha « S ») et G12 (Vitron) se sont montrés modérément résistants à l’isolat de bé tendre et modérément sensibles à l’isolat de blé dur. Enfin, la lignée G8 (Siméto X Waha 311) et le parent G9 (Siméto) se sont montrés modérément sensibles à chacun des deux isolats. Une corrélation négative et hautement significative a été trouvée entre la progression verticale de la maladie et la hauteur des génotypes.
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    Recherche sur des méthodes alternatives de contrôle d'Alternaria alternata et A. solani, agents de l'alternariose de la pomme de terre
    (2014-07-03) MOULAI, Younès
    La pomme de terre est considérée entant culture stratégique dans le monde et particulièrement dans les pays en développement. Cependant, cette culture est sujette à diverses contraint es biotique et abiotique dont l’alternariose causée par les deux espèces Altenrariasolani et A.alternata est devenue, au cours de ces dernières années, plus importantes dans les milieux chaudes. Des essais de lutte biologique, in-vitro et in-vivo, en utilisant l’agent antagoniste Trichoderma spp.et des extraits Alcooliques de quelque plantes médicinale sont été réalisés sous conditions contrôlés. Les résultats in-vitro de confrontation des Trichodermaspp. Avec les agents pathogènes ont montré un pouvoir antagoniste Très important de la majorité des isolats testés, dont l’isolat T13 est le plus important avec un pourcentage d’inhibition de la croissance mycélienne qui dépasseles70%.
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    Etude de la pathologie et de l'effet des génotypes du blé sur l'efficacité de Trichoderma atroviride P. Karsten dans la protection du blé contre Fusarium culmorum (W.G.Sm.) sacc.
    (2014-05-07) BELHADJ BEN YAHIA, Fayza
    La fusariose de l’épi et la pourriture racinaire sont deux maladies importantes qui altèrent le blé, causant une perte du rendement et une dépréciation de l’état sanitaire et technologique des graines. Fusarium culmorum est l’une des espèces importantes responsables de ces maladies, bien que d’autres espèces fongiques soient aussi impliquées. L’étude in vitro de l’effet de la température sur la croissance mycélienne de 21 isolats de F. culmorum a montré que l’optimum de la croissance se situe à 25° C pour certains isolats et à 30°C pour d’autres. L’étude de la pathogénèse de ces isolats sur la partie basale de la variété Vitron du blé, évaluée par l’inoculation du sol, a révélé une variabilité dans l’indice de la maladie, et que FC.09.11, obtenu à partir de l’épi, est l’isolat le plus agressif avec un indice de maladie de 1,8. L’étude de l’agressivité de ces même isolats de F. culmorum sur épi par inoculation artificielle des épis du blé au moment de la floraison a montré aussi une variabilité dans l’indice de la maladie, et que FC.09.11 est l’isolat le plus agressif avec un indice de maladie de 7,88. La corrélation calculée entre l’indice de la maladie sur épi, transformé en pourcentage, et le pourcentage de réduction du PMG, pour l’ensemble des isolats, est significative (r = 0,79). Les corrélations calculées pour la croissance mycélienne in vitro et la pathogénicité des isolats de F. culmorum évaluée par les deux techniques d’inoculation ont montré que la seule valeur significative est celle obtenue entre la pathogénicité du pathogène sur la partie basale et sa pathogénicité sur épi (0,5). L’essai in vitro de l’activité antagoniste de l’isolat Ta13 de T. atroviride par la confrontation directe et indirecte a montré que cet isolat inhibe efficacement la croissance mycélienne des isolats de F. culmorum par le biais de différents mécanismes. In vivo, l’enrobage de la semence de sept génotypes du blé par une suspension de spores de Ta13 de Trichoderma a montré que cet isolat réduit considérablement l’indice de la maladie de la pourriture racinaire en fonction des variétés, où le pourcentage de réduction de la maladie le plus élevé est de 78,26 %, enregistré chez la variété Waha.
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    Etude comparative (in vitro et in situ) de quelques lignées sélectionnées de blé dur et de variétés cultivées pour leur comportement à la fusariose de l'épi causée par Fusarium culmorum (W.G. Sm.) sacc. et Fusari
    (2013-02-12) HADJOUT, Salah
    En Algérie, la fusariose de l’épi est une maladie économiquement dévastatrice du blé dur (Triticum durum). Cette maladie est induite par un complexe de plusieurs espèces de champignons du genre Fusarium comme F. culmorum et F. graminearum. Ces pathogènes affectent la qualité technologique et sanitaire des grains par la production de mycotoxines. Ces données nous ont conduit à comparer 8 lignées et 4 variétés cultivées de blé dur pour leur comportement à la fusariose de l’épi causée par deux souches appartenant chacune à une espèce de Fusarium. A cet effet, l’évaluation de la maladie est réalisée en deux parties. La première est menée in vitro au laboratoire et la deuxième est menée au champ en utilisant deux souches de Fusarium (F.G.10.08 et F.C.T5). La caractérisation morphologique des deux souches montrait une variabilité interspécifique intéressante. Ces deux souches ont réduit significativement la croissance du coléoptile des grains de tous les génotypes in vitro. Les résultats obtenus au champ ont révélé que les variétés et lignées issues de croisements montraient un niveau de sensibilité assez différent à l’égard des deux souches et aucun génotype ne possède une résistance complète (immunité) dans nos conditions de cultures. Parmi le matériel testé, certaines lignées ont présenté une résistance plus élevée que leurs parents. Les résultats montrent une légère variabilité de comportement liée également à l’agressivité des deux souches de Fusarium étudiées dans ce travail. Nos résultats ouvrent des perspectives de recherche très importantes sur la fusariose de l’épi en Algérie, notamment la recherche de mycotoxines comme causes possibles de maladies humaines mal connues et les facteurs qui contribuent à leur accumulation dans les grains.
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    La fusariose de l'épi du blé
    (2012-02-09) DOUICI-KHALFI, Assia
    La fusariose de l’épi est l’une des plus importantes maladies du blé tendre, causée par plusieurs espèces de Fusarium spp. elle affecte les rendements et diminue la qualité des grains par la production de mycotoxines nocives pour la santé humaine et animale. A travers cette étude nous avons caractérisé plusieurs espèces de Fusarium spp. issues du collet et de l’épi de plants fusariés par leur morphologie ainsi que par l’agressivité de deux de ces espèces (Fusarium culmorum) sur deux variétés de blé tendre algériennes Hiddab et Arz, l’isolat de Fusarium culmorum issu du collet est aussi agressif que l’isolat issu de l’épi. La variété Hiddab été plus sensible à la maladie que la variété Arz qui n’a développé aucun symptôme. Par ailleurs, l’étude de comportement de cinq variétés françaises de blé tendre inoculées par 06 souches et par 05 associations de 02 différentes souches de Fusarium spp, montre que le comportement des variétés reste stable quel que soit l’isolat ou le mélange d'isolats utilisé. Ce comportement est estimé par une note globale de 0 à 9 utilisée par le GEVES et d’une note plus spécifique, basée sur le nombre d’épillets fusariés, dans 25 épis, utilisés par l’INRA de Rennes. Les deux méthodes, ont caractérisé le comportement des variétés de la même manière pour tous les paramètres de résistance étudiées. Par ailleurs, l’étude pluriannuelle du comportement de 232 lignées recombinantes issues du croisement des variétés Apache et Ornicar montre qu’il existe une grande variabilité de la résistance entre les différentes lignées. La comparaison des résultats des années 2004 et 2005 a montré un effet année important sur l’expression de la résistance. Cependant, il existe des lignées de bonne résistance qui pourront être utilisées comme parents dans des études d’amélioration si elles montrent un bon comportement à l’égard de l’accumulation des mycotoxines.
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    Etude histologique de la pénétration de Fusarium oxysporum f. sp. albedinis (Hansen et Snyder) Gordon à travers les racines de palmier dattier (Phoenix dactylifera L.)
    (2010-07-12) BOUDEFFEUR, Saïd
    Le développement du palmier dattier, dépend de la levée de plusieurs contraintes entre autres, la maladie du Bayoud causée par un champignon tellurique appelé Fusarium oxysporum f.sp.albedinis. Dans le cadre de ce travail, nous avons étudié le mode de la colonisation et le suivi de l'infection des jeunes racines de trois variétés (TEGAZA, TINASSER et TAKERBOUCHT) respectivement sensible, tolérante et résistante. Des coupes histologiques ont été pratiquées sur les jeunes racines préalablement inoculées et infectées, un mois après l'inoculation artificielle des jeunes plantules au stade de 2 feuilles. Ces dernières ont été placées dans des petits flacons, puis subi des bains de KOH à 10%. Les coupes histologiques transversales réalisées sur les jeunes racines infectées des trois variétés ont montré deux zones bien distinctes : l'écorce et le cylindre central. Les racines des variétés suivantes, TEGAZA et TINASSER (variétés sensible et tolérante) ont révélé une couleur brune rougeâtre avec la présence de filaments mycéliens à la surface et la formation d'invaginations ou cryptes. L'installation du parasite au niveau des cellules racinaires commence par l’écorce, puis atteint le cylindre central. Le parasite se propage ensuite dans le xylème et cause son obstruction en bloquant ainsi le flux de sève. Les apex racinaires de TAKERBOUCHT (variété résistante) ont montré dans certains cas un brunissement localisé et la progression du F.o.albedinis reste très limitée au point d’infection. Aucune présence du champignon dans le xylème ni dans le cylindre central n’a été observée. Le mycélium du F.o.albedinis n’a pas pu s'insinuer dans les tissus racinaires de la TAKERBOUCHT au-delà d’une certaine limite. Des invaginations fongiques se sont formées suite à la pression exercée par les appressoria, pour faciliter la pénétration du mycélium. Une production intense de polyphénols notamment au niveau du sclérenchyme des différentes variétés a été observée. La variété TAKERBOUCHT semble plus productive de polyphénols qui interviendraient dans la résistance totale à la fusariose du dattier.
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    Etude du BSMV virus de la mosaïque striée de l'orge
    (2010-02-26) BOUBETRA, Souhila
    Des prospections réalisées sur champs, dans les régions du centre et de l’est du nord de l’Algérie, ont mis en évidence la présence du Barley Stripe Mosaic Virus (BSMV) sur deux variétés de blé dur (Belliouni 3848 et GTA dur), une variété de blé tendre (Hiddab) et une variété d’orge (Rihane). Par ailleurs, une analyse phytosanitaire sur des lots de semences a été réalisée, et a révélé la présence de ce même virus sur deux variétés de blé dur (Chen’s et Belliouni 3848), une variété de blé tendre (HD1220) et deux variétés d’orge (Rihane et Saïda). L’étude du pouvoir pathogène du BSMV sur plants d’orge inoculés et non inoculés de la variété Acsad60 et Saïda a permis de noté deux types de symptômes (Petites stries blanchâtres et stries courtes jaunâtres). Le test ACP-ELISA appliqué pour ces derniers confirme que les deux symptômes relevés sont réellement induits par le BSMV. L’étude du taux de transmission par semence du BSMV sur les jeunes semis issus de semence de plants inoculés et de plants non inoculés, des deux variétés d’orge a montré par le test TBIA que ces taux de transmission étaient plus élevé chez la variété Saida pour les deux essais (66% inoculé et 73,8% non inoculé) .Par contre l’analyse par groupe utilisant la DAS-ELISA a démontré que pour ces deux variétés le taux de transmission est comparativement très faible, variant de 0 à 2,05 %
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    Recherche sur l'état sanitaire des semences de céréales et de légumineuses alimentaires
    (2010-03-01) BOUNAR, Rekia
    Les céréales et les légumineuses alimentaires occupent une place importante en Algérie de part leur diversité ainsi que l’intérêt nutritionnel et agronomique. Aussi comme beaucoup de produits agricoles, ils sont le siège d’une riche mycoflore fongique qui peut se développer aussi bien en plein champ qu’au cours du stockage. L’incidence d’une telle population biologique sur la qualité de conservation de ces produits devient une problématique aussi bien pour leur valeur nutritionnelle que le maintien de leur valeur germinative. Parmi la flore qui se développe, certains champignons tels que Fusarium, Aspergillus et Penicillium sont des producteurs potentiels de mycotoxines et dont certaines sont très dangereuses pour la santé humaine et / ou animale (Aflatoxine, Ochratoxine, Fumonisine, Trichothécène, Zearalénone etc.…). En Algérie, ces substances toxiques ont fait l’objet de peu d’études et de ce fait nos connaissances restent encore très limitées. . L’objectif de ce présent travail est donc d'évaluer la qualité phytosanitaire de semences des céréales et des légumineuses alimentaires quant à leur contamination éventuelle en mycoflore et en mycotoxines. Les résultats de l’analyse de la flore fongique de quelques espèces de céréales (Blé dur, Blé tendre et Orge) et de légumineuses (Fève, Pois chiche et Arachides) ont montré une mycoflore abondante et diversifiée à savoir une mycoflore pathogène, une mycoflore intermédiaire et une mycoflore de stockage. L’inventaire réalisé et le calcul de la fréquence et de l’abondance de chaque agent ongique ont révélé que dans tous lots confondus hormis les arachides, les espèces d’Alternaria sont les plus dominants. La présence d’Aspergillus flavus et A. parasiticus était importante dans les échantillons d’arachides. La répartition des agents fongiques isolés dans toute les parties de la graine fait apparaitre une certaine hétérogénéité de contamination , les taux les plus élevés , se trouvent dans les enveloppes externes et diminuent de plus en plus en allant vers l’intérieur de la graine (embryon). L’analyse statistique de l’effet de la mycoflore sur la germination n’a montré aucune corrélation entre le pourcentage de contamination et celui de la germination, l’impact des agents fongiques sur l’état sanitaire de la graine dépend de leur site d’infection. . Les analyses chimiques concernant les mycotoxines ont montré que parmi ce cortège floristique, seules deux espèces du genre Aspergillus isolées des grains d’arachides se sont montré potentiellement toxinogènes à savoir Aspergillus flavus et A. parasiticus. Le pouvoir aflatoxinogènes des 28 isolats obtenus a été évalué par la CCM et par le spectrophotomètre, les quantités d’aflatoxines varies de 28,58 à 99,83 mg / 50 ml. La purification par CCM et la quantification par HPLC de l’aflatoxine extraite des grains d’arachides a montré que le taux d’aflatoxine dans ces derniers varie de 0,29 à 3,1 ng / g L’étude sur la phytotoxicité des grains traités par le filtrat de culture a révélé une inhibition significative de la germination des grains de végétaux. . Le test d’aflatoxine comme herbicide naturel a induit un effet inhibiteur des grains des plantes parasites, le taux d’inhibition est proportionnel aux concentrations utilisées.
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    Etude de la spécialisation parasitaire et de la diversité génétique d'une collection d'isolats de Botrytis spp.
    (2010-07-14) MEAMICHE, Hayet
    Le genre Botrytis est composé d’espèces phytopathogènes redoutables qui s’attaquent à de nombreuses cultures dans le monde. L’espèce polyphage Botrytis cinerea présente une gamme d’hôtes de plus de 235 plantes. La lutte chimique est la plus utilisée, cela dit, de nombreuses classes de fongicides deviennent inefficaces en raison de la variabilité phénotypique et génétique du pathogène. L’identification des espèces de Botrytis et la connaissance des mécanismes régissant la spécialisation parasitaire et les interactions hôte-pathogène sont nécessaires pour améliorer les techniques de lutte. Afin d’y parvenir, 3 axes sont développés dans ce travail :Le premier vise à identifier les espèces d’une collection de Botrytis spp. provenant de différentes plantes hôtes. L’étude des critères morphologiques à travers l’aspect des colonies, la taille des spores et leurs concentrations, les sclérotes et leurs densités à permis d’identifier 19 isolats appartenant à l’espèce polyphage Botrytis cinerea et 1 isolats supposé appartenir à une espèce spécialisée associée à Allium spp. Ces critères macroscopiques et microscopiques indiquent qu’il s’agit de l’espèce Botrytis alcada. Le second axe concerne l’étude de la spécialisation parasitaire et du pouvoir pathogène de la collection de Botrytis spp. Une technique d’inoculation artificielle sur des feuilles détachées a été mise au point. Les mesures des périodes d’incubation, de latence, du nombre de spores et des valeurs AUDPC ont permis d’observer une variabilité importante du pouvoir pathogène des isolats ainsi que l’extrême polyphagie de l’espèce Botrytis cinerea. La spécialisation parasitaire de l’isolat BOA01 a été confirmée. Le troisième axe vise l’étude de la diversité génétique de la collection de Botrytis spp. par l’analyse du polymorphispme des profils RAPD. L’étude a confirmé l’appartenance des 19 isolats à l’espèce Botrytis cinerea et a classé l’isolat BOA01 comme un isolat distinct des autres. L’analyse a révélé que les isolats peuvent présenter profils similaires indépendamment de leurs origines géographiques et de la plante hôte. Les résultats obtenus soulignent l’intérêt d’utiliser d’avantage de marqueurs moléculaires pour estimer la diversité génétique des populations de Botrytis en Algérie.
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    Mise au point d'une technique moléculaire de détection de Xanthomonas campestris et validation d'une procédure de détection dans les semences basée sur la PCR
    (2010-03-11) LAALA, Samia
    Xanthomonas campestris provoque des maladies chez les plantes de la famille des Brassicacées. L’une de ces maladies est la nervation noire. Elle est de distribution universelle et considérée comme la plus destructive des crucifères. Bien que les sources de contamination soient multiples, la semence reste la source principale de la transmission des pathogènes. S’assurer de leur qualité sanitaire est le moyen de lutte le plus efficace contre les bactérioses. Actuellement les techniques officielles adoptées dans les procédures de contrôle des lots de semences sont essentiellement basées sur les techniques microbiologiques. Ces techniques sont longues et coûteuses pour être utilisés en routine. La PCR utilise comme substrat l’ADN qui est une molécule stable, ne rend pas compte de la viabilité des bactéries dans l’échantillon analysé. Le présent travail avait comme objectif de proposer un nouvel outil moléculaire de détection fiable et rapide de Xanthomonas campestris vivant dans les semences de chou. Trois méthodes moléculaires ont été étudiées et testés afin d’évaluer leur potentiel de détection de Xanthomonas campestris dans les semences. La première technique qui a été développée durant cette étude est la RT-PCR. Elle utilise l’ARN comme matrice et permet d’amplifier l’ADNc à partir de l’ARNm cible grâce à une transcription inverse. Des amorces ont été sélectionnés dans quatre gènes rpoD, gyrB, galA et XCC2585, leur seuil de sensibilité et leur potentiel de spécificité ont été testés et comparées.Cette technique a permis de détecter les transcris de deux gènes parmi les quatre gènes candidats testés. Ils’agit du gène rpoD et gyrB. Le gène galA et XCC2585 ne s’exprime pas de manière constitutive. La deuxième partie de notre travail était de valider la méthode BIO-PCR sur des lots de semences naturellement infectées par X. campstris. Cette technique a permis de détecter jusqu'à 10cfu/ml de macérât de semence. La troisième technique que nous avons mise au point pour la détection de X. campestris vivants dans les lots de semences est la SEED-PCR. Cette technique est basée sur un enrichissement par germination des semences contaminées couplée à une Taq-man PCR en temps réel après extraction de l’ADN cible. C’est une technique peu onéreuse et permet de détecter jusqu’au 1 graine contaminée parmi 10 000 graines saines, meme quand la graine est contaminée a un faible niveau.
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    Regénération in vitro de plants sains à partir d'Apex caulinaires d'olivier Olea europea L. var. Chemlal
    (2010-02-18) Tabti, Dalila
    Nos essais ont concerné le matériel adulte de l’olivier Olea europea L. var. Chemlal. Des apex caulinaires et axillaires, issus de plants mères atteinds de la maladie dite tuberculose de l’olivier, provoquée par la bactérie Pseudomonas syringae subsps. savastanoϊ, sont excisés et mis en culture sur le milieu de Murashige et Skoog 1962 (M.S) additionné de BAP à 1, 1.5 et 2 mg/l. Les apex axillaires sont prélevés des boutures médianes. Le taux de réactivité des bourgeons est plus élevé avec les concentrations de 1 et 2 mg/l de BAP soit respectivement 63.63 % et 73.64%. Le meilleur taux de développement des pousses est obtenu avec 1mg/l (71.42%). L’induction racinaire des pousses feuillées est réalisée sur le milieu MS/2 (dilué de moitié), additionné d’ANA (0.01mg/l). Après quatre semaines de culture, un enracinement de 80% a été obtenu.
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    Contribution à l’étude des espèces du genre Fusarium Link responsable des pourritures racinaires des céréales dans la région de Batna
    (ENSA, 2012-06-21) LEMMOUCHI, Naziha
    Le travail que nous reportons dans ce document, concerne l’étude du Genre Fusarium dans les zones céréalières de la daïra d’El-Madher et d’Ain-Touta étalé sur deux campagnes agricoles 2008/2009 et 2009/2010. L’évaluation de l’importance des pourritures racinaires dans ces régions a permis de prélever 2000 plants et de montrer que le blé dur s’avère le plus sensible durant les deux campagnes avec une incidence et indice de sévérité moyenne de la maladie (pourriture racinaires) 25,83% et 9,15%, respectivement suivi de l’orge avec 19,83 et 6,9%. Les principales espèces pathogènes isolées à partir des plants (blé dur et orge) ont été F.culmorum (45% sur blé dur et 42,25% sur orge), F. graminearum (31,5% sur blé dur et 29% sur orge), Miccrodochium nivale (23,5% sur blé dur et 26, 75% sur orge) et F.tricinctum (2% sur orge). En effet, F. culmorum est le plus fréquent des agents isolés, car il domine dans la région d’El-Madger (42% sur blé dur et 39% sur orge en 2008/2009 et 50% sur blé dur et 48% sur orge en 2009/2010) L’étude pathogénique des 17 isolats de Fusarium spp. et M. nivale sur le blé dur et l’orge a révélé que les isolats n°8 et 13 appartenant à Fusarium graminearum ont été plus agressifs et de manière très hautement significative (indice de sévérité = 3%) comparativement à l’isolat n°4 le moins agressif (0,35%), appartenant à l’espèce F. tricinctum). A titre comparatif, en terme de sensibilité les deux espèces de céréale ont exprimé une différence très hautement significative, le blé dur a été plus sensible que l’orge avec un indice de sévérité moyen respectif de 2,21% et 1,98%.
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    Identification des virus impliqués dans la maladie du court noué de la vigne par des critères sérologiques et biochimiques
    (ENSA, 2015-07-01) Tahirine, Mohamed
    Cette étude s’inscrit dans le contexte de déterminer des virus impliqués dans la maladie du court noué de la vigne en Algérie. Un nombre total de 300 échantillons ont été prélevés de trois wilayas du centre et sept wilayas de l’ouest du pays, sur 12 cépages de la vigne. Les échantillons ont été sujets à deux tests sérologiques, un premier en utilisant un sérum monoclonal anti-GFLV, et le deuxième en utilisant un sérum anti-GFLV/ArMV. Les résultats obtenus ont montré que 47% des échantillons prélevés ont répondu positivement au premier sérum, alors que 45% ont réagi avec le deuxième. Plus que la moitié des échantillons prélevés des wilayas d’Oran et de Boumerdès et près de la moitié de ceux des wilayas de Mascara, Mostaganem et Relizane sont porteur d’au moins un des deux virus du court noué, GFLV ou l’ArMV. Dans un deuxième temps, 16 extraits viraux ont été soumis à une SDS-PAGE pour déterminer le poids moléculaire de la protéine capside. Une bande protéique dont le poids moléculaire correspond à 55.559 Dalton a été identifiée. Ce poids molécualire est proche de ceux des proteines capsides du GFLV (56.000 Dalton) et de l’ArMV (54.000 Dalton), un résultat confirmant celui des tests sérologiques et ceux des travaux antérieurs.
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    Etude du polymorphisme génétique chez l'orobanche de la fève: Orobanche crenata Forskall. en Algérie, par l'utilisation des marqueurs moléculaires RAPD et AFLP
    (INA, 2005) AOUALI, Souhila
    Orobanche crenata is an obligatory parasitic plant of broad bean and other leguminous cultures, and generates serious damages on these cultures. Molecular approach by the use of three techniques of marking: SDS-PAGE, RAPD and AFLP was privileged in this study. The principal objective of this work, is to determine the intraspecific level of diversity, among populations of O crenata collected in various geographical localities of the Mitidja in Algeria, and to highlight interspecific polymorphism between the three most widespread species of broomrape in Algeria, namely O crenata O ramosa and O aegyptiaca The second objective is to study the effectiveness of the two types of DNA markers, RAPDs and AFLPs, in the detection of interspecific and intraspecific genetic polymorphism. The electrophoresis of native proteins of broomrape's seeds in SDS-PAGE, generated a relatively similar electrophoretic profiles between the various analyzed ecotypes of O.crenata. The comparison between the latter and those of O.ramosa revealed an obvious and clear difference. The interspecific and intraspecific genetic polymorphism was highlighted through the use of the two techniques of DNA marking, the RAPD and the AFLP. On the whole, 144 RAPDs markers were identified among the six ecotypes of O.crenata and O.aegyptiaca through which we could distinguish the two sections to which the two species belong, namely the Tryonikon section for O.aegyptiaca and the Osproléon section for O.crenata. The DNA analysis by the use of AFLP also revealed a notable polymorphism between the various ecotypes tested. On the whole, 429 AFLP markers were generated with 3 combined primers. The AFLP produced a better resolution of the analyzed genomic profiles. This technique proved more precise and more sensitive than the RAPD in the detection of polymorphism between very close genotypes.
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    Recherche de marqueurs de la spécialisation parasitaire de Pyrenophora tritici-repentis (Died.) Drechs., agent de la tache bronzée sur blé dur (Triticum durum Desf.) et blé tendre (Triticum aestivum L.).
    (2009-10-12) TIZIOUALOU, Ghazia
    Pyrenophora tritici-repentis est l’agent causal de la maladie de la tache bronzée du blé, une maladie d’une grande importance économique. Le présent travail se propose d’étudier les marqueurs de la spécialisation parasitaire de P. tritici-repentis sur blé dur et blé tendre ; pour cela nous avons étudié la variabilité morphologique et culturale de 13 isolats collectés de différentes régions de l’Algérie ; déterminé leur race sur une gamme d’hôte différentielle ; étudier la spécialisation pathogénique sur des variétés locales ; ainsi que l’effet des filtrat de culture des deux types d’isolats virulents sur les variétés sensibles de blé dur et blé tendre. Les caractères culturaux n’ont pas révélé une variabilité qui différencie les isolats obtenus de blé dur de celles obtenus de blé tendre. Par contre, La croissance mycélienne journalière et la taille des conidies obtenue sur feuilles vertes de blé, semblent être des marqueurs de la spécialisation de P.tritici-repentis sur blé dur et blé tendre, du fait qu’ils nous ont permis de différencier les deux types d’isolats. L’agressivité et la virulence des isolats, sur la gamme différentielle, semblent aussi être un marqueur de cette spécialisation puisque nous constatons que les isolats de blé dur sont plus virulents que les isolats de blé tendre. Par ailleurs, il n’existe pas de spécialisation pathogénique sur les deux espèces de blé, du fait que toutes les deux ont présenté une sensibilité aux deux types d’isolats, et une même sévérité de maladie. Le dernier test sur les filtrats de cultures, nous montre que la période d’apparition des symptômes, après infiltration des filtrats de cultures bruts, peut être un marqueur de la spécialisation parasitaire du P.tritici-repentis sur les deux espèces de blé. Contrairement aux types des symptômes apparus, qui n’ont révélé aucune différence entre les deux types d’isolats du fait qu’ils peuvent reproduire les symptômes de la maladie chez l’espèce de blé tendre comme chez le blé dur, et inversement ; seulement le blé dur semble être plus sensible à ces derniers que le blé tendre.
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    Recherche sur Rhizoctonia solani J.G.Kühn, agent du rhizoctone brun de la pomme de terre
    (2015-07-02) MIDOUNE, amel
    Le présent travail rapporte les résultats d’une étude de rhizoctone brun de la pomme de terre, qui constitue l’une des pathologies les plus nuisibles à cette culture à travers le monde. Cette étude est réalisée en trois principales étapes.d’abord la caractérisation morphologique de trente sept isolats algériens de Rhizoctonia solani J.G. Kühn issus de tubercules de pomme de terre provenant de différentesrégion du pays, ainsi que l’identification des groupes d’anastomose aux-quels ils appartiennent en les confrontant avec des isolats testeurs appartenant aux groupes d’anastomose AG-2-1, AG-4, AG-4-II, AG-11, AG-9 et AG-3.En suite l’évaluation du pouvoir pa-thogène de ces isolats vis-à-vis de la variété de pomme de terre Désirée et en fin l’étude du comportement de neuf variétés de pomme de terre cultivées en Algérie à l’égard de l’isolat le plus agressif de la collection d’isolats algériens. La caractérisation morphologique des isolats étudiés, a démontré qu’ils appartiennent tous à l’espèce R. solani. La confrontation de ces isolats avec les isolats testeurs a révélé leur apparte-nance au groupe d’anastomose AG-3. En outre, les résultats du test de pathogénicité ont prouvé la virulence de 100 % des isolats vis-à-vis de la variété Désirée, et ce avec différents degrés d’agressivité. Par ailleurs, aucune desvariétés de pomme de terre étudiées ne s’est montrée tota-lement résistante à l’isolat de R.solani. Ces variétés ont été classées par rapport à la réduction du rendement en variétés tolérantes (Bartina, Fabula, et Ultra), moyennement tolérantes (Sarpo Mira, Lesitaet Kondor) et sensibles (Désirée,Timate et Diamant).
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    Etude de la diversité génétique de Botrytis cinerea Pers.
    (2014-11-06) ALEM ETSOURI, Meriem
    Botrytis cinerea dont le téléomorphe est Botryotinia fuckeliana est un champignon des plus polyphages et ubiquistes, il est l'agent de la pourriture grise de la vigne et de centaines d'autres espèces végétales. Il provoque des pertes correspondant à 20% des récoltes mondiales des cultures sensibles et dont le coût a été estimé à plus de 100 milliards d’euros par an. Botrytis cinerea est doté d’une importante variabilité génétique et phénotypique qui s’expriment notamment par sa morphologie sur milieu de culture, son agressivité et sa réponse aux fongicides. La première partie de ce travail, qui constituait une caractérisation phénotypique de nos isolats a révélé une grande variabilité au sein de la collection. La description des morphotypes a permis de distinguer 36 individus du types sclérotiens alors que seulement 5 étaient du type mycélien. Le test de pathogénicité a montré une majorité d’isolats virulents (38/41) avec des degrés de virulences très variables (compris entre 0,25 et 3,75). Quant à la réponse de nos isolats au traitement par le Fenhexamide, elle était graduelle entre la sensibilité et la résistance, certains isolats (11/41) ont montré une sensibilité réduite (CI50 comprise entre 0,07 et 0,1) et 2 isolats/41 se sont montrés résistants avec des degrés de résistance de 11,4 (BCV07) et 13,6 (BCV29). Ces isolats seraient probablement du phénotype HydR3 modéré. Mais aucun isolat fortement résistant au Fenhexamide n’a été retrouvé. La seconde partie est une caractérisation génétique de la collection par la détection des éléments transposables par PCR. Celle-ci a révélé la présence de 16 isolats du type Boty et de 25 isolats type Vacuma. Aucun isolat du type Transposa ou Flipper n’a été retrouvé.